les métiers inhérents à la gestion du risque (risk officer notamment) ont encore de beaux jours devant eux
Le métier de broker est aussi enclin à se transformer:
Une partie du "Trading Broker" est déjà assurée par des automates concernant des flux "retail" (routage électronique des ordres). Par exemple, lorsque tu vas à ta banque de quartier (téléphone à ton conseiller) pour acheter/vendre des titres, c'est un tout petit flux qui est géré par automates. Une partie de la commission que tu verses à ta banque va dans les poches du broker avec qui elle aura négocié une tarification pour un gros flux.
Des automates prennent le relais également lorsqu'il s'agit d'exécuter des ordres atypiques ou lorsque le flux d'ordre est trop élevé pour les travailler tous "à la main".
Ceci dit, il y a une chose qu'un automate ne peut pas faire, c'est la relation client. Il ne faut pas oublier que c'est celle-ci qui est à la base du métier. Chez un broker, tu as souvent un département d'equity research qui pond des analyses et le le boulot d'un sales/sales-trader sera de vendre au mieux le papier pour avoir l'ordre de bourse.
Panorama intéressant également:
http://actu.efinancialcareers.fr/N [...] emId-30178
Pour le reste cet article bien que 2006 est encore d'actualité, renforcé aujourd'hui par l'obligation faite aux banques de développer ou renforcer leur gestion des risques
http://actu.efinancialcareers.fr/N [...] temId-5848
---------------
"Ne pas reconnaître son talent, c'est faciliter la réussite des médiocres" J . Gabin