Je pars du constat que les écoles doivent acquérir de la visibilité pour s'adapter à la mondialisation. Or en France, c'est l'inverse, il y a des centaines d'écoles invisibles internationalement.
Petit exemple de cette "diversité"
Avec le site de l'Onisep, quand on cherche une formation Bac+5 en électronique, en Ile de France, on trouve :
- ECE (école centrale d'électronique)
- EFREI (l'école française d'électronique et d'informatique)
- ENSEA (l'école nationale supérieure de l'électronique et de ses applications)
- Supélec (École supérieure d'électricité)
- ESEO (École supérieure d'électronique de l'Ouest)
- ESIEA (École supérieure d'informatique électronique automatique)
- ESIEE (Ecole supérieure d'ingénieurs en électronique et électrotechnique)
- ISEP (Institut supérieur d'électronique de Paris)
- Télecom Paris
- Télecom SudParis
Je propose les projets suivants :
A Paris
a) un pôle "Techniques avancées", c'est à dire une école regroupant { Mines, Ponts, Ensta, Télecom Paris }
Cette école aurait des promos de 550 élèves, ce qui n'est meme pas énorme à l'échelle mondiale.
b) un pôle "Ecole Centrale" regroupant { Centrale Paris, Supelec, Institut d'optique, Ens cachan }
Une grosse université à l'américaine, avec près de 900 élèves par année. Bien sûr il y aurait de nombreux départements et laboratoires.
c) un pôle " Chimie, vivant et environnement" regroupant { Espci, Agro Paris, Chimie Paris }
d) un pôle "Ecole des technologies de l'information et de la communication" regroupant { EnsIIE, Ensea, Ece, Telecom SudParis }
En province
A lyon
Un pôle "Lyon Tech" avec { Ens Lyon, Centrale Lyon, CPE lyon }
A Toulouse
Un pôle aéronautique avec { Enac, ISAE , Ensma }
Un pôle géneraliste avec { N7, Ensiacet }
A grenoble
"Grenoble Tech" { tout l'INPG }
De mêmes pour les autres écoles.