Paragraphe argumenté sur la vie dans les tranchées pendant la guerre 1914-1918.
Tout d'abord, La guerre commence en 1914, les futurs soldats n’auront pas le choix et vont devoir aller combattre. Les combattants partis en guerre sont loin d’imaginer la durer de cette guerre et les souffrances physiques comme morale qu’ils vont endurer. L’un des seuls moyens de communication qu'ils ont avec leurs familles sont les lettres, dans ces lettres leurs conditions de vie, les assauts qui continus. Pour éviter de se faire bombarder, mitrailler ou attaquer par l'ennemi, les poilus creusent des tranché pour se protéger, mais surtout pour ne pas reculer face a l'ennemi, c'est l'ordre : « Ne pas reculer ! »
Les conditions d’hygiènes sont aussi lamentables et répugnantes notamment a cause de cette boue incessante dans les tranchées « Je ne suis qu’un bloc de boue… » Georges. Les souffrances physiques d'être blesser d'avoir faim et soif qui les domines chaque jours, chaque heures, chaque secondes devient insupportable : « Huit jours sans boire et presque sans manger ».
De plus les conditions morales des soldats sont tragiques, ils sont en deuil face aux cadavres de leurs camardes « huit jours au milieu d'un charnier humain », « couchant au milieu des cadavres », « marchant sur nos camarades tombés la veille » Gaston. Ils souffrent aussi beaucoup de solitude « Maintenant je vais me sentir bien seul » Gaston. Toutes les allusions à la mort que les soldats doivent subir, la peur de ne peut-être jamais revoir leurs familles « J’ai bien pensé a vous tous durant ces heures terribles, et ce fut ma plus grande souffrance que l’idée de ne jamais vous revoir » Gaston.
Les discours de propagande s'opposent totalement face aux lettres de poilus qui est donc la réalité : « A part cinq minutes par mois le danger est très minime, même dans les situations critiques » Le Petit Parisien, or les soldats vivent un traumatisme quotidien face aux horreurs : « la souffrance morale de croire chaque instant la mort nous surprendre » Georges.
Les discours de propagande sont là pour rassurer l'arrière mais a cause de ceux-ci les soldats ressentent la solitude face à la sérénité des parties civiles.
On a pu remarquer que pendant cette guerre de position, les poilus ont une certaine lassitude de cette guerre, que les conditions sont difficiles, surtout pour les personnes qui sont elles sur le front.