Mauvais section effectivement,
mais sinon, leurs premières retrouvailles, c'est à quel moment ?
Si tu veux aller loin et selon le niveau, tu peux d'inspirer de ce qu'a dit Leibniz pour faire parler Pangloss, puisque Voltaire le caricature à travers ce personnage, quant à Candide, selon le moment concerné (en gros la quantité de malheurs affrontés, son degré d'incompréhension, son degré de déception), tu peux le représenter plus ou moins tel qu'il est : naïf, et plein de questions.
Il remet rarement (voire jamais je ne me souviens plus) en cause les enseignements de Pangloss : il cherche toujours à comprendre.
Exemple bête : si jamais Pangloss disait "mélanger le noir et le blanc donne du bleu", et qu'en le faisant il obtenait du gris, il demanderait ce qu'il a mal fait, ce qu'il n'a pas fait, ce qu'il n'a pas compris. Il verrait s'il a pris les bonnes couleurs, s'il a assez mélangé, etc.
Il ne remettrait pas en cause les paroles de Pangloss.
Au mieux, à la fin du livre, il préfère encore éluder la question et cesser de comprendre les choses. Il faut cultiver notre jardin.
Donc rapidement quelques pistes :
Pangloss résolument optimiste, professoral, fortement inspiré de Leibniz (si tu veux être subtil tu peux chercher des citations de Leibniz et en faire des phrases du dialogue).
Candide, naïf et désemparé, coincé entre la dureté du monde et les paroles de Pangloss.
Message édité par Chrysalidocarpus le 05-12-2013 à 19:47:22