Citation :
Monsieur,
Je vous ai, le jeudi 28 aout 2003, confié un véhicule Golf cabriolet pour effectuer les réparations suivantes : équilibrage et géométrie des trains et pneumatiques.
Me trouvant sur place, j'ai entre ces deux opérations contrôlé l'état des jantes de mon véhicule. J'ai constaté une détérioration de la jante avant droite -en parfait état avant ma visite dans votre établissement- que je vous ai signifiée de suite.
Votre réaction a été de nier la dégradation et de m'inviter à quitter sur le champs votre établissement sans me facturer l'intervention, malgré mes tentatives répétées de conciliation à l'amiable. Après une forte insistance de ma part vous avez consenti à m'établir une facture.
Je vous demande donc, par la présente, de bien vouloir reprendre le véhicule afin de le réparer à vos frais ou, à défaut, de satisfaire aux dépenses que la remise en état va engager.
Dans l'hypothèse où je n'obtiendrais pas satisfaction, je serais contraint de porter le litige devant le tribunal compétent et de solliciter le versement de dommages et intérêts.
Par ailleurs je vous informe qu'une copie de cette lettre a été envoyée à l'Union Fédérale des Consommateurs «Que Choisir», ainsi qu'à la société Siligom dont vous êtes le franchisé.
Veuillez croire, Monsieur, en l'expression de mes sentiments distingués.
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