Reprise du message précédent :

 
De se battre contre l'absurde ,d'etre un rebel quoi!
On peut aussi voir ça comme un mal etre.

 
Se battre contre l'absurde ? Quel rapport avec l'entropie ? Je ne comprends vraiment, mais vraiment rien à ce que tu racontes.
 
Si je n'étais pas convaincu de ton génie je dirais que tu baragouines/baratines.

Se battre contre le sentiment de l'absurde (en ne l'etant pas soi meme par exemple,en se revoltant)
 
 
ps: j'ai edité le titre en inversant.

nur, tu peux me definir entropie, car j'ai un peu de mal a comprendre ta question avec ma definition actuelle ...

 
Il l'a fait plus haut.    
Maintenant il part sur l'"absurde" et je ne vois toujours pas le rapport.

oups j'ai loupe...
 
et moi non plus je vois pas le rapport...

La lente décomposition de tout ton etre peut engendrer
le sentiment de l'absurde (si tu n'es pas croyant)ou d'injustice . A partir de la tu as 2 choix:
Soit te résigner et te laisser aller.
Soit tenter de t'y opposer.

desole nur, mais je saisis vraiment pas le concept.

Rien de compliqué pourtant.
Mais,il faut peut etre avoir ete sensibilisé au probleme auparavant.

L'entropie d'un système, c'est la mesure de son état d'équilibre interne. L'entropie dudit système est maximale quand celui-ci est équilibré, sans contraite d'équilibre interne. Par exemple, si dans un bol y'a de l'eau et de l'huile qu'on a laissés reposer, l'entropie du mélange est très élevée. en revanche, si on mélange avec un jaune d'oeuf en même temps, l'entropie est faible car le jaune est un tensio-actif, c'est à dire une contrainte interne au mélange, qui force les molécules d'eau à rester liées aux molécules d'huile.
 
Pour l'être humain, il existe des tas de contrainte interne qui maintiennent l'organisme de façon cohérente. Quand on décède, le système ne produit plus l'énergie nécessaire à sa cohésion, tout se désagrège : chaque molécule de notre corps reprend sa liberté, aucune contrainte ne les maintient entre elles.
 
Viellir, c'est donc le fait que l'entropie de l'organisme augmente petit à petit, que les contrainte de cohésion cellulaire soient de moins en moins forte.  
 
 
Mais il existe aussi ce qu'on appelle l'entropie d'une source d'information. L'entropie maximale d'une telle source, se définie par le logarithme du nombre d'éléments différents qui composent cette source. Ainsi à la naissance l'entropie maxiamale de norte epnsée est assez faible : la plupart des neurones se transmettent peu d'informations différentes, en revanche plus on grandi, plus on acquiert (orth ?) des informations différentes, donc l'entropie maximale de notre pensée augmente. A noter : l'entropie de notre pensée est (bien évidemment) inférieure à son entropie maximale : on utilise jamais tout notre savoir !!!
 
Donc de ce point de vue là, viellir c'est aussi le fait que l'entropie de notre pensée augmente.
 
Dans un cas nous constattons que l'entropie est perçue comme un défault (viellesse du corps), dans l'autre elle sera un avantage (connaissance).

toi tu as compris le topic!
 
mais pour ce qui est de la connaissance qui augmente l'entropie je ne suis pas d'accord:
il est exact qu'en theorie de l'information ,le nombre d'informations qui composent un system l'augmente mais c'est ds le sens de plus de desordre,plus de conflits.Or la connaissance c'est de l'information organisée,maitrisée,passée a travers le filtre de la raison.C'est pourquoi je pense que la connaissance maitrisée(sagesse ?) diminie l'entropie.
ce qui l'augmente,c'est la perte de curiosité,le laissé aller.Danc ces cas la ,l'information vous submerge et l'entropie augmente.

 
 
je suis pas d'accord avec le phrase en gras, mais je suis d'accord avec l'idée que tu as voulu faire passer. Je m'explique :
je pense que le fait de maitriser la connaissance freine le processus entropique de la pensée, mais malgré celà, je reste convaincu que cette entropie augmente, car il suffit de voir tout ce que notre cerveau emmagasine comme informations par instant, pour bien sûr réaliser que la grande majorité de ces informations restera inutilisées.

d'un point de vue purement physique et quantitatif peut etre.Mais savoir faire le tri dans la masse d'information ,synthetiser ce qui est important et rejeter le reste c'est ce mouvement la qui va contre l'entropie. Il est admis en physique que globalement l'entropie augmente mais rien n'empeche de la faire diminuer a petite echelle.  
 
L'aboutissement de l'individu comme ilot de contre entropie ?

 
bah justement, le cerveau ne rejette quasiment rien, toute information qui rentre est irrémédiablement stockée, certe à un niveau plus ou moins profond de conscience, mais elle est stockée  

stocké dans l'inconscient certes, mais on parle de la conscience comme s'opposant a l'entropie.

Si on restreint le système d'étude à la conscience, oui ta thèse est juste
Le seul soucis, que que la pensée humaine ne se réduit pas à la simple conscience, on est donc bien obligé de tenir compte des autres zones de l'esprit

la conscience est une conquete sur l'inconscient
les primitifs (selon jung) vivent surtout par l'inconscient .
Donc on est bien dans le sens d'une diminution de l'entropie.

 
frein

oui si tu veux,quoique si on considere l'entropie globale d'un systeme ,en l'occurence l'univers,si on dit qu'elle augmente a grande echelle,ne peut pas considerer qu'elle puisse diminuer a petite echelle ? pour un temps du moins.

 
, je suis complètement d'accord là dessus Dans une démarche sérieuse, OK pour cloisoner et chercher les propriétés de chaques zones. Mais ensuite il faut à nouveau globaliser.  
 
C pourquoi du point de vue de la pensée humaine, je pense que c'est juste de dire que les processus de la consciences favorisent une baisse (= diminution) de l'entropie de la pensée consciente. mais du point de vue de la pensée humaine dans sa globalité, je reste sur l'idée que les processus de la conscience ne font que freiner (et pas diminuer) le phénomène entropique.

Oui mais quand on parle de la personnalité ou de l'ame d'une personne on parle surtout de sa conscience,qui est ,je le redis, une conquete tardive (donc une diminution d'entropie?) sur l'inconscient indifférencié,voir collectif(Jung).

 
= pas que
 

 
En tout cas c'est un plaisir de discuter avec toi,on se comprend assez bien.
Je livre a ta sagacité cet extrait de l'oeuvre de Jung que j'avais posté sur un autre forum:
 
 
"Nombreux sont les etres qui ne sont que partiellement conscients;jusque parmi les Européens fort civilisés se rencontrent un nombre important de sujets anormalement inconscients,pour lesquels une grande partie de la vie s'écoule de façon inconsciente.Ils savent ce qu'il advient d'eux,mais ils ne se représentent qu'imparfaitement ce qu'ils font et ce qu'ils disent.
Ils sont incapables de rendre compte de la portée de leurs actions:qu'est ce qui,en définitive,les rend conscients? que survienne un fait inattendu,qu'ils heurtent quelque coutume,quelque habitude solidement établies,que cette collision entraine de fatales conséquences,et la lumiere se fait dans leur esprit;elle éclaire les motifs de leur action,ils sursautent et deviennent conscients"

Merci cai pour ça qu'on doit faire des baibai toi et moi
 
kom ilé vilain monsieur Jung !
 

A mon sens tout le monde n'est que partiellement conscient. A des dégrés différents.  
 

Sans commentaires, c'est la marque d'une époque
 

Là encore, je pesne que c'est le cas de tout le mon, encore une fois à des degrés différents. Personne ne contrôle totalement ses gestes et ses dires.
 

Point très intéressant, on constate ici que la conscience prend racine dans l'émotif. C'est le fait d'être ébranlé ou heurté dans nos convictions (et une conviction n'est rien d'autre qu'une position dans le domaine de l'affectif) qui va engendrer un processus de prise de conscience.
 
PS: par contre on sort des limites de ton sujet

c'est exactement ça pour tout ce que tu as dis!
(et jung aurait opine aussi)
Sinon,je crois pas qu'on sort du sujet, puisque l'on discute de la conscience (qui s'oppose a l'entropie)et de l'inconscient(qui est peut etre entropie).  
 
a part ça,je veux pas d'enfant

 
opine ???  
 
Disons que le sujet est lié, mais dans une disserte je suis qûe qu'on aurait un beau HS dans la marge.
 
a part ça, t'inquiète pas, on prendra un moyen contraceptif

opiner= faire oui avec la tete
les dissertes c'est bon pour les enfants!  
 
je te savais pas si fertile sinon

 
honte sur moi... opiner oui bien sûr
Bon ok, mon argument dissert était nul    
 
Pourtant, depuis le temps que tu dis que j'ai l'esprit fertile... tu te contredis mon bon ami

c'est pour mieux te flatter mon ami  

...    

" Non non celine ne rougit pas ...." Gilbert becot

 
Bon allez, on va se faire tapper sur les doigts là