Bonsoir à tous,  
 
J'ai découvert que dans certains pays d'afrique, les étudiantes se font entretenir, voici:
 
"Sans bourse et vivant dans des conditions difficiles en résidence universitaire, les étudiantes ont abandonné ''les parents'' au profit des tontons qui sont plus concrets financièrement.
 
Etudiante en 2ème année de Chimie, biologie, géologie (Cbg) à l'Université de Cocody, O. Olga n'a rien à envier à un fonctionnaire. Réfrigérateur, ventilateur, gazinière, télévision grand format, lecteur dvx, rien ne manque pour lui assurer le confort dans sa chambre d'étudiante double au grand dam de sa voisine de chambre. Quand je suis arrivée pour la première fois en cité, je ne disposais que d'un matelas sur lequel je dormais. Je n'avais rien, même pas d'habits adéquats pour aller aux cours. Et ce ne sont pas les 10.000 Fcfa que mon père me donnait comme argent de poche qui allaient m'aider. Mes voisines qui avaient un minimum de confort collaboraient difficilement. Il me fallait faire tout un cérémonial pour avoir accès à leur matériel. Je me suis juré alors d'être au même niveau qu'elles et de leur en mettre plein la vue , explique celle-ci. Et d'ajouter : J'ai rompu avec mon petit ami qui n'était pas en mesure de m'aider à cela. Il ne me donnait que des miettes et je me suis mise avec un enseignant qui cadrait avec mes ambitions. Mais les 75.000 Fcfa qu'ils me donnent ne sont pas suffisants et je prends de temps à temps de l'argent avec des dragueurs qui sont des boss pour la plupart, sans le tromper bien sûr. C'est d'ailleurs l'un deux qui m'a offert mon portable Samsung qui coûte 70.000 Fcfa . Comme Olga, E. Sehi Lou, étudiante en maîtrise de droit, que ses amies appellent affectueusement Loulou , sème l'envie parmi ses copines. Toujours tirée à quatre épingles et traînant dans son sillage l'essence d'un parfum couteux et possédant un portable dernier cri, elle ne passe pas inaperçue sur la cité. Elle avoue sans complexe qu'elle est entretenue et que cela ne regarde qu'elle. Quand tu es au campus, il vaut mieux faire envie que pitié. Si les autres filles sont bien mises et ont toutes des chambres confortables, tu ne peux pas te permettre de rester les bras croisés. J'ai mon petit ami qui vit dans la cité universitaire et qui est dans une grande école. Par contre, celui qui m'entretient est l'un de mes professeurs qui est tombé sous mon charme. J'ai fini par céder à ses avances. Mais de temps à autres un autre petit ami qui possède une ferme de volaille me donne des sommes d'argent non négligeables. Je ne peux laisser aucun d'entre eux. Du moment où ils me donnent ce dont j'ai besoin. Mon professeur m'apporte la stabilité que j'ai toujours recherchée et mes petits amis m'apportent l'amour , confie-t-elle. N.S., étudiante à l'Université catholique de l'Afrique de l'Ouest (Ucao), vit dans un luxe opulent à la Cité rouge. Pour elle, ce n'est pas nouveau. Elle lance avec assurance être habituée à ce train de vie. Quand tu es habitué à être à l'aise, tu ne peux pas renoncer à cela. Mes parents paient mon école et me donnent de l'argent de poche. Ce n'est plus comme quand j'étais à la maison. De plus, les filles de ma classe sont des filles à papa et ont un train de vie élevé. Je ne veux pas être la fausse note de notre cercle. Je ne peux pas dire à mon père que l'argent qu'il me donne n'est pas suffisant. Mon petit ami avec qui je suis depuis la terminale est dans la même situation que moi mais il se saigne comme il peut pour me mettre à l'aise. Je suis obligée de recourir à d'autres voies pour être à l'aise. Ce n'est pas ma faute , se justifie-elle. Mais contrairement à ces filles, L. C explique qu'elle préférerait mourir que de se faire entretenir. Je me suis retrouvée dans une situation dont je ne suis pas fière. Je trompais mon copain officiel avec un autre parce que celui-ci m'avait promis un portable. Le jour où il m'a remis le portable, mon copain qui devait se douter de quelque chose, est venu à l'improviste. Je ne savais plus où me mettre et j'avais l'impression que ma tête pesait 40 kilos. De plus, je suis devenue pour quelque temps la risée des autres filles du palier , se rappelle-elle douloureusement. Malgré les quelques ?'croisements'' qui arrivent quelquefois, ces jeunes filles ne sont pas disposées à changer de vie. Elles ont choisi l'argent et l'amour et ont décidé d'assumer quel que soit ce que cela leur coûte.
 
Source:
http://www.koffi.net/koffi/actuali [...] ontons.htm
 
La FRANCE est pays beaucoup plus évolué, j'espère que l'on retrouve pas ce type de situation en FRANCE
Qu'en pensez-vous?

En France c'est pire, il y a la prostitution étudiante comme on l'appelle
Souvent des filles pour qui la bourse est insuffisante (ou inexistante) et qui dans les propositions d'emplois bien payés voient des offres de prostitutions.
En faisant deux ou trois coups par mois, elles arrivent à payer loyer, bouffe, and co    
J'avais lu une histoire dans le Nice-Matin aussi d'une fille qui payait son loyer en nature auprès du proprio.

 
Ouais, j'ai vu une émission où les escorts qu'ils avaient trouvé pour le reportage finissaient tout de même par avouer qu'elles le faisaient ça pour gagner de l'argent plus facilement qu'en travaillant au Mac Do ou autre...

Sauf que, une fille qui fait la pute (parce que même si c'est dit de façon soft, ça l'est) pour être au "top" comme elle, perso ça me fait plus pitié qu'autre chose en attendant
Ces filles pensant donner envie, mais c'est tout l'opposer. A leur place j'aurais honte quoi. Mieux vaut se contenter de peu et être intègre.
Enfin bon, j'ai du mal à concevoir le "Whaou, t'es une pute je t'envie trop   "

ca pourrait etre un film/livre best seller.

j'avais perçu à tort des avances de la part d'une vieille proprio que j'avais; en réalité elle était juste en manque de relations sociales
 
si je pouvais payer mon loyer en quelques coups par mois  

tu m'étonnes, le McDo c'est hyper dur (chaleur, etc)

la différence c'est qu'en Afrique se faire entretenir est culturellement acceptable. une menbre de ma famille élevée en afrique que j'hébergais pendant ses étude me disait tranquillement : moi quand je travaillerais ça sera pour mes fariboles j'aurais un mari qui assurera (moi pendant ce temps je m'échinait à 4000FRF par moi pour la nourir!)
 
10 ans plus tard elle est mariée plutôt heureuse mais en effet son mari a été choisi selon des critères qui me paraissent à moi, occidentale privilégiée, assez "bizzare"
 
c'est quelque chose qu'on comprend mal vu de France mais pour avoir travaillé pendant toute mes études je regrette de ne pas avoir eu de tonton riche : ça m'aurais peut être facilité la vie

tu regrette? pourquoi?
 
est-ce qu'il y a une personne dans la salle qui l'a fait et regrette de l'avoir fait?

 
ou qui regrette de pas l avoir fait ?  

helpeuse.

Drapal

j'ai une cave de libre pour une étudiante, non fumeuse, non hideuse!  
 

donc, on est d'accord => mythe.

 
Euh non c'est l'inverse, ça existe malheureusement.

En France ?  

 
La plupart des putes étudiante sont simplement des putes qui se font passer pour des étudiantes, un moyen de prendre plus chère et de sélectionner mieux leurs clients.
 
Normalement on fait des études pour se construire, se détruire pour se construire ça n'a pas de sens.

http://www.google.fr/search?source [...] ent+contre

est-ce legale???

En réalité il y a combien d'étudiante qui répondent sérieusement à ce type d'anonnce ?
Je demeure persuadé que c'est un phénomène qui concerne une ultra minorité

et c'est surtout concentré sur paris.

 
oui

c n'est pas une sorte de prostitution? c'etait celle la ou proxenetism qui est interdite en fr?

 
Non mais Gazette a un vrai problème avec les putes, peut-être un antécédent familial, je sais pas

C'est pas impossible
 
Il se murmure aussi, dans certains milieux bien informés, qu'il trolle comme un goret. Difficile de faire la part des choses