Lors du Téléthon du 7 décembre 1996, il commit une gaffe en invitant le public, composé majoritairement de personnes atteintes de myopathie, à se lever. Il s'exclame "Tout le monde debouuuut ..." avant de se rendre compte de sa bourde et de finir sur "... là-bas !!" en désignant une petite partie du public ne se trouvant pas en chaise roulante. Trop tard.  
Depuis lors, ses présences télévisées se font très rares - peut-être sans rapport de cause à effet.

En 1997, le Canard enchaîné publie un article, accompagné de photos, l'accusant d'avoir aidé l'équipe du Puy du Fou face à l'équipe du Pays d'Ancenis lors de l'émission Intervilles du 2 juillet 1997. Les photos le montrent tenir sa main proche de son corps avec trois doigts dépliés, suggérant qu'il aurait fait un signe de la main pour donner la réponse à une question posée. L'Association du Puy du Fou porte plainte pour diffamation contre l'hebdomadaire. La société de production d’Intervilles et TF1 portent plainte contre l'animateur, qui porte également plainte pour diffamation. Le vice-président de TF1 de l'époque, Étienne Mougeotte déclare « avoir visionné mardi et mercredi plusieurs cassettes des émissions d’Intervilles où il apparaît que cela [le geste de la main] s'est produit plusieurs fois » alors qu'Olivier Chiabodo arbitrait les matches entre le Puy du Fou et Ancenis et lors de la finale entre le Puy du Fou et Pont-Saint-Esprit en septembre 1996. Ce dernier est alors licencié par la chaîne. Il attaque le Canard enchaîné en justice et demande un franc symbolique de dommages-intérêts. L'hebdomadaire fait appel et publie un article intitulé « Pas même un franc par doigt ». Olivier Chiabodo est finalement disculpé par la justice au bénéfice du doute mais ne réintègre pas TF1.

L’humoriste et animateur Anthony Kavanagh s’est placé dans une situation inconfortable. Lors d’une émission en direct du «Dancing Show», Kavanagh a fait une blague sur le Liban qui a choqué plusieurs téléspectateurs de la chaîne France 2.
 
Alors qu’il présentait un concours pour un voyage en Égypte, la vedette a suggéré aux gens de se rendre au Liban-Sud, un coin qu’il a qualifié de «très sympa en ce moment», en rapport aux bombardements dont a été victime le pays de la part d’Israël. Kavanagh s’est rapidement excusé de ses propos et a refait des excuses en ondes à la fin de l’émission.
 
Malheureusement pour l’humoriste, le mal était déjà fait. Le Journal de Montréal rapporte même que de nombreux appels de téléspectateurs furieux ont été placés à France 2. Plusieurs personnes ont demandé des excuses officielles de la part de l’animateur.
 
Sur le forum d’actualités de l’émission «Dancing Show», une importante quantité de messages font état de la consternation des gens qui se disent outrés par ces propos et réclament le renvoi de Kavanagh. Ce dernier est même comparé à l’humoriste Dieudonné qui suscite régulièrement des controverses.
 
La chaîne France 2 se dit par contre solidaire de son animateur pour le moment.

Il fut licencié de TF1 pour avoir déclaré à la radio RMC dans l'émission de Jean-Marc Morandini tout ce qu'il pensait de la chaîne. Notamment, Bernard Tapie L'émission de cet escroc est naze (en référence à l'émission À tort ou à raison), Arthur même avec un prompteur, il se plante ! Il ne faut pas trop le dire car il a la mainmise sur TF1, Julien Courbet le Zorro de la Télé, le jeu Zone Rouge une connerie et enfin Vidéo Gag C’est purement alimentaire. Je ne fais ça que pour l’argent. C’est une émission que je ne regarde pas. Mais bon, j’assois mon gros cul sur les banquettes et je touche un paquet. Je suis content.

Le 27 juillet 2003, au cours d'une dispute, Bertrand Cantat frappe à plusieurs reprises sa compagne, l'actrice Marie Trintignant. Marie Trintignant meurt de ses blessures le 1er août 2003. Les faits ayant eu lieu en Lituanie à Vilnius, il est condamné par la justice lituanienne à huit ans de prison ferme pour « meurtre commis en cas d'intention indirecte indéterminée ».

A la suite de spam répétés sur des parrainages de banques en ligne, il fut banni à l'apogée de sa carrière de conseiller financier sur HFR.
Il ne revint plus jamais sauf lors de quelques apparitions sous forme de multi.

En 1994, il est nommé directeur général de la Compagnie Générale des Eaux. Il succède à Guy Dejouany, à son départ en 1996. À partir du milieu des années 1990, il accompagne la Compagnie générale des Eaux dans sa transformation et la renomme Vivendi. La stratégie est alors la maîtrise « du contenu et du contenant », Vivendi souhaitant contrôler à la fois les canalisations (eau, câbles de communication) et ce qu'elles véhiculent (eau, flux d'informations).
 
Le groupe est alors très présent dans la communication avec Havas, Canal+ et SFR et prétend profiter pleinement de la bulle internet.
 
Il rachète les actifs de Seagram (Boissons, Alcools, Divertissement (dont les Studios Universal)) via un échange d'action dans lequel la famille Bronfman, propriétaire de Seagram, prend 8 % du capital du groupe français. Il revend les actifs dans les alcools de Seagram pour la somme de 8,2 milliards de dollars à Diageo et Pernod Ricard et filialise les branches environnement (dont la distribution d'eau) et travaux publics de Vivendi en leur faisant porter une immense part de la dette du groupe[réf. nécessaire], donnant naissance aux groupes Véolia et Vinci.

En 2002, Vivendi s'enfonce dans les difficultés, et déclare des pertes records qui sont mises « hors bilan » (car correspondant à des dépréciations d'acquisitions payées en titres Vivendi), les plus importantes jamais enregistrées par une société basée en France.
 
Au même moment, Messier décide de se séparer de Pierre Lescure, patron fondateur de Canal Plus, et lance un plan de licenciement. Au siège de Vivendi, le Conseil d'administration, sous l'impulsion de Claude Bébéar (fondateur d'AXA), se désolidarise de Messier.
 
En juillet 2002, Jean-Marie Messier doit démissionner. Ses indemnités conventionnelles de 20 millions de dollars sont l'objet d'un contentieux judiciaire. Jean-René Fourtou, ancien PDG d'Aventis, reprend en main le groupe.

Le 30 octobre 2002, pendant un débat, Gérard se laisse emporter et prononce à l'antenne « Heil Hitler ! » à la stupéfaction des membres de l'équipe technique. Celle-ci réprimande Gérard et l'enjoint à s'excuser auprès des auditeurs, ce qu'il fait dans la seconde mais à quoi il ajoute l'énigmatique « à bon entendeur salut, pour ceux qui n'ont pas compris ce que cela voulait dire... ». Manu, le réalisateur, coupe l'émission à l'instant même, alors qu'un autre débat devait se dérouler et que celui en cours touchait à sa fin. La sanction est immédiate et sans appel, l'animateur est définitivement évincé de Fun Radio et Max ne parlera plus jamais de Gérard à l'antenne, à l'exception d'un rapide hommage au lendemain de son décès. D'après Gérard, lors de ce dernier débat il s'était cogné le genou sur la table de la radio, d'où le jeu de mot : « Aïe Hitler ». Ceci est confirmé sur l'enregistrement de l'émission par un silence à l'antenne, quelques secondes avant l'incident, puis on entend l'équipe rigoler car Gérard se fait mal en essayant de se lever de sa chaise.