Après, il faut voir que dans l'univers de 1984 de Orwell, les dirigeants maintiennent exprès les habitants dans un état de privation, de restriction de guerre et de manques dans tout les domaines.
Montrer l'apparition de nouvelles technologies ne s'intégrerait pas du tout dans ce cadre.
Je ne sais pas comment les lecteurs de 1948 se représentaient le contenu et les description du livre vis a vis de leurs vécu, et je n'ai jamais vu les films.
Mais je me souviens des passages sur Londres en ruine et j'ai toujours imaginer le monde de 1984 comme celui des images que l'on peut avoir de thechenie, du liban ou de tout pays autrefois relativement avancé qui a été ou est encore ravager par une guerre permanente.
Les immeubles et les maisons a moitiés éventrés et en ruine, des débris un peu partout que les habitants déplacent le long des routes pour les dégagées, des véhicules détruits abandonnés ici ou là entre deux affiches géantes de big brother.
Des habitants ayant certes a manger, mais jamais autant qu'il ne leurs faudrait. Non pas des haillons mais des vêtements usées et un peu rapiécés parce que porter bien plus longtemps qu'ils ne sont fait pour, avec encore une fois cette impression de vieux et de pauvreté.
Pas assez de lames de rasoir au point qu'on ment pour ne pas avoir a en prêter aux amis, pas assez de tabac ni d'alcool, et de manière générale : jamais assez de tout.
C'est comme ça que je me souviens de 1984, et je n'imagine pas un seul instant internet dans ce monde, ni même d'appareils électrique un tant soit peu perfectionné.
Message édité par vended le 30-07-2009 à 21:04:54
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Tout ça pour 100 jours. Voilà où mène l'entêtement...