Les problèmes de Deutsche Telekom se rependent du centre vers la périphérie
 
Les problèmes qui bouleversent Deutsche Telekom, le plus grand consortium européen de la télécommunication les mois derniers sont provoqués par nombreux de facteurs. Durant le période de trois mois derniers, 588 mille de clients de la ligne fixe ont changé Telekom pour un concurrent mois cher, ainsi il est difficile à restructurer l’entreprise dans ces conditions. Par conséquent, les problèmes ont commencé à se rependre aux territoires en dehors l’Allemagne où le consortium allemand gagne environ 50 pour cent du profit total. Ainsi, en Croatie, Deutsche Telekom après un long monopole (pendant quelques années DT a contrôlé 100 pour cent du marché local de télécommunication), la libéralisation et la venue de nouvelles entreprises de télécommunication, il a perdu 10 pour cent du marché de télécommunication chaque année.  
 
En essayant de maintenir son monopole, la filiale locale de Deutsche Telekom a obtenu l’aide et le soutien des différentes structures publiques. C'est-à-dire que l’état a gardé 20 pour cent de la propriété qui seront, d’après l’annonce du Gouvernement, vendus au mois de septembre cette année, deux mois avant les élections parlementaires. Le succès financier de Deutsche Telekom au marché local n’était pas le résultat des actions du ménagement, mais des liaisons étroites avec le gouvernement (le directeur local était le ministre du parti au pouvoir et les membres des comités différents étaient les généraux fameux et les députés des organisations des vétérans, etc.)
 
Cependant, les relations étroites avec les gouvernements qui ont depuis 8 ans garanties à Deutsche Telekom un profit sûr, ont trop relâchées l’administration locale. Au moment où DT a essayé d’introduire les canaux nationaux de distribution téléphonique à ses bilans, l’amour entre le gouvernement et Deutsche Telekom a commencé à s’évaporer. Il s’agit du réseau téléphonique que la commission européenne d’arbitrage a déterminé le valeur d’environ 1,5 milliards euros. Le gouvernement, avec le trébuchement de l’économie croate, l’endettement (selon la portion des dettes internationales à P.I.B. la Croatie est un des pays les plus endettés du monde) et à l’an de l’élection, n’a pas bien sûr approuvé cette attitude de l’entreprise allemande. La lutte pour les canaux nationaux de distribution téléphonique est devenue pour le gouvernement croate la dernière ligne du combat.  
 
Là, le gouvernement a fait quelques mouvements complètement imprévus qui ont perturbé la filiale locale de Deutsche Telekom. D’un côté la vente du paquet national des actions de Deutsche Telekom qui avait été annoncée pour le juin, est prorogée jusqu’au septembre cette année. Les analystes financiers locale prévoient que le terme serait prorogé jusqu’au octobre. D’autre côté, le gouvernement a annoncé la prise en possession des canaux nationaux de distribution téléphonique avec lesquels il compensera la perte à cause de la chute des valeurs de son paquet des actions (il s’agit de 1,5 milliards euros). Le plus surprenant était la troisième action du gouvernement avec laquelle, s’il se passe quelque chose d’imprévu, le gouvernement disciplinera DT : le gouvernement a décidé de faire gratuitement la concession à VIP de l’Autriche pour le nouvel service Homebox (la téléphonie fixe-mobile). A cause du changement des clients de la téléphonie fixe de Deutsche Telekom pour le service de Homebox dans deux premier mois, Deutsche Telekom pourrait perdre, d’après les analyses des économistes réputés, pas seulement 10 pour cent du marché croate chaque année, mais 20 pour cent dans la téléphonie fixe jusqu’à la fin de l’année.
 
Par conséquent, la filiale de Deutsche Telekom face une situation compliquée : l’état l’a trompé, son profit cette année sera beaucoup moindre que les années précédentes, l’entreprise devrait fonctionner avec un lest du cadre qu’elle ne peut renvoyer puisqu’elle a signé le contrat contre le congé (donc elle emploie quelques mille des ouvriers inutiles) et en même temps les ouvriers se mettent en grève de la solidarité avec leurs collègues allemandes. L’administration locale paralysée regarde impuissamment le centre allemand qui étouffé par ses problèmes, essaye de trouver la solution. Les annonces des problèmes similaires viennent aussi des autres pays du Balkan auxquels Deutsche Telekom a gagné un considérable profit. (OR-P)