Il me semble qu'il faut (sur le client NFS -Debian, ici-) lancer le "rpc portmapper" (souvent, c'est "/sbin/portmap" ou parfois "/sbin/rpc.portmap" ), et le démon RPC rpc.lockd.
Une autre solution (si portmap n'est pas installé sur le client) est d'utiliser l'option "nolock" qui empêche le démarrage du serveur lockd (sur le poste client)
/bin/mount -t nfs -o nolock,sync 192.168.1.1:/NFS /mnt/NFS
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Attention dans ce cas, il est souhaitable de n'avoir qu'un seul client qui accède en écriture à ce partage NFS (les fonctions de verrouillage ne sont pas actives). (note : l'option "sync" permet de ne pas délayer les accès au partage, ce qui, me semble-t-il, force le noyau à écrire directement les données)
(cf. man portmap & man mount)