Mea culpa sur l'abus de violence dans les jeux
 
Le tour de table sur la violence dans les jeux a été l'un des plus véhéments. Des développeurs ont débattu du rôle des systèmes de notation en fonction du degré de violence de chaque réalisation. Ils ont ensuite réfléchi à l'effet qu'ont sur les enfants des jeux très violents, une grande majorité s'accordant à dire qu'actuellement la violence gratuite est excessive. Une violence qui devient même parfois une solution de secours lorsque les développeurs manquent d'inspiration pour rendre un jeu attrayant, selon le directeur du programme de la conférence Game Developers, Jason Della Rocca. Comme l'a reconnu un développeur présent à la table-ronde: «Je pense que nous n'avons plus besoin de créer ce type de jeux stupides où l'on tue tout le monde». Mais sera-t-il entendu? Les participants ont admis que l'industrie doit mieux informer les parents du contenu des jeux avant que leurs enfants ne les utilisent.  
 
La question des choix raciaux a également été abordée, notamment l'usage de stéréotypes ethniques pour certains personnages de jeux. Cet état de fait révèlerait la quasi-absence de minorités ethniques dans les plus hautes strates de l'industrie du jeu. Ce que confirme le modérateur du débat, Darrell Porcher, responsable e-commerce du site de jeux de Sony, qui indique que peu de programmeurs, indépendamment de leur origine ethnique, parviennent à grimper au niveau décisionnaire.  
 
Parlant de la créativité, David Braben, spécialiste de longue date du secteur, a posé le problème des limites des jeux sur le plan narratif. «La plupart des jeux d'aujourd'hui racontent des histoires assez plates», affirme-t-il. Et d'ajouter: «Les scénarios sont un prétexte pour les séquences d'action».  
 
Pour qu'il y ait une amélioration du point de vue narratif, il doit y avoir des progrès dans les dialogues. Les personnages, comme le joueur, doivent pouvoir s'exprimer autrement que par des sons pré-enregistrés, affirme-t-il. Mais il faudra encore bien des progrès sur le plan technologique pour obtenir ces effets. «Il nous faudra être en mesure de créer des répliques à la volée», clame-t-il, reconnaissant que c'est un défi de taille.

«Il nous faudra être en mesure de créer des répliques à la volée»
 
 

[jfdsdjhfuetppo]--Message édité par MaestroBoy--[/jfdsdjhfuetppo]

deja que la violence est pas controlée dans les rues, faudrait régler ce problème la avant les autres je crois

LeMakisar a écrit a écrit : deja que la violence est pas controlée dans les rues, faudrait régler ce problème la avant les autres je crois

 
La violence ne s'invente pas, on devient violent... l'environnement quotidien ayant son importance.

[jfdsdjhfuetppo]--Message édité par Fodger--[/jfdsdjhfuetppo]

Deja mdr qd tu parles de JV
Surtout ce qu'on voit a la télé (info ou films)
Les mecs qui se tejent du world trade center pour par bruler >> gros plan CNN, limite quoi...  

oun0r a écrit a écrit : Deja mdr qd tu parles de JV Surtout ce qu'on voit a la télé (info ou films) Les mecs qui se tejent du world trade center pour par bruler >> gros plan CNN, limite quoi...

 
Ca n'est qu'une accumulation de tout ça... en général les jeunos jouent plus aux jeux videos qu'ils ne regardent la tv.

ou j'vas tuer des zombies et des nazis maintenant

David Braben
 
  My hero  

si ce gars la veux remplacer tous les quake et autre unreal par des jeux du style nerf arena, moi je dit non
 
ensuite c marrant, mais j'ai remarqué au cours de ma courte existance que ceux qui foutaient le plus le bordel etaient pas ceux qui jouaient le plus au JV...
au contraire

clair, ceux qui jouent aux JV sont enfermés chez eux

clair, ceux qui jouent aux JV sont enfermés chez eux

          Ca me fera toujours beaucoup rire ce genre de choses. Les jeux videos rassemblent beaucoup plus que l'inverse. G encore vu taleur a la fnac 2 personnes jouer à la xbox, une "rakai" (avec le jogg et les chaussettes par dessus etc) et un autre mec qui semblait venir de chepa ou (un chateau peut-être?). Bref, sans les jv, les 2 la, jamais ils ne se seraient parlé, la ils rigolaient ensemble (precision, ils ne se connaissaient pas avant, g assisté à toute la scene).
 
Pis ca me fais penser aux etats unis, des mecs se genent pas pour dire "A bas les jv, ca tue les gens" et 2sec plus loin dire "pour la legalisation totale des armes a feu"  
Tout ca parce-que le syndicat d armes à feux est extremement puissant la bas, et donc tout le monde il est tout gentil avec le syndicat. C bien plus facile de se rabattre sur autre chose de moins "defendu". Bref, encore une histoire de fic donc.