Hé hé Contraryweb aussi ?
Le post d'athenaa est pertinent, elle a raison.
En web y'a deux moyens pour les polices :
1- soit — à l'ancienne, elle sont liées via le css : un dossier police au même niveau avec les variantes woff, svg, ttf et eot pour les différents navigateurs,
cette solution aurait pu solutionner le souci de Lucie je pense. Fontsquirrel est bien pratique pour ça.
2- soit — et c'est moins chiant niveau code, de l'import avec Googlefont avec le lien prêt à être copié-collé dans le css, genre :
@import url('https://fonts.googleapis.com/css?family=xxxxxx:400,700');
xxxxxx correspondant à la police choisi et les chiffrages "400,700" aux graisses dispos/choisies.
Par contre là ou le code de Lucie n'est pas clair (je ne l'ai pas retrouvé, elle a 10 feuilles css, pas fouillé),
c'est que si elle termine par sans-serif (exemple d'athenaa) :
font-family: arial black, Helvetica Black, Helvetica, sans-serif;
Je me demande comment elle peut récupérer des serif comme du "Times" !
Enfin au niveau de son code, il faut déclarer les polices au niveau body par les balises sémantiques (h1, h2, p, etc.), pas chaque fois au niveau objet (ses div) via des classes,
ça fait du code à rallonge...
Son code est ancien, ses définitions de résolutions (smartphones, tablettes, écrans), via les requêtes media (media queries) sont dépassées.
Elle utilise trop de feuilles de style, là ou 3 suffisent. On construit en mobile first :
< à 481 px (smartphones)
de 481 à 769 px (tabs)
> à 769 px (le reste, écran, etc.).
Voilou
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Panem et circenses. Nihil novi sub sole.