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Auteur Sujet :

Bac 2006

n°719795
Gwen292
Posté le 12-06-2006 à 14:37:29  profilanswer
 

Afin de sauver le sujet : "Préparation aux concours acces et sesame" , je propose à tous le monde que ce soit les personnes ayant passé des concours ou d'autres à venir mettre en commun ce que l'on a fait pour les épreuves du Bac !!!

mood
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Posté le 12-06-2006 à 14:37:29  profilanswer
 

n°719922
Gwen292
Posté le 12-06-2006 à 15:14:42  profilanswer
 

Le Corrigé
Dissertation : Bonheur et vérité  sujet  
   
 
 
I - L'ANALYSE ET LES DIFFICULTES DU SUJET
 
● Le sujet se réfère à deux notions du programme : le bonheur et la vérité.
Le rapport entre les deux n'est pas au premier abord évident ; la vérité est en premier lieu un problème théorique (la connaissance), le bonheur est un problème pratique (la conduite dans l'existence). Mais il faut bien voir que la vérité relève aussi d'un choix moral, car on peut préférer vivre dans le mensonge, l'erreur ou l'illusion.
C'est un sujet intéressant et riche, qui fait appel à votre expérience, votre réflexion, vos lectures (des exemples romanesques seraient bienvenus), et bien entendu à vos connaissances philosophiques.
 
● Le sujet vous invite à vous prononcer sur les valeurs respectives du bonheur et de la vérité lorsqu'il s'agit de se donner des principes de conduite ("Faut-il" ) pour mener son existence.
 
● Le bonheur peut être défini comme un sentiment de satisfaction pleine et durable, mais en remarquant qu'il semble comporter aussi une part de hasard ponctuel et favorable (le bonheur, c'est bien pour cela que l'on a des "portes bonheurs" !)
 
● La vérité peut être définie ici comme une volonté de sincérité par rapport à soi-même et aux autres, et de lucidité par rapport à la réalité de l'existence.
 
 
 
II - LA PROBLEMATIQUE
 
● On parle souvent des "imbéciles heureux", et on a tendance spontanément à penser que pour être heureux, "il ne faut pas se poser trop de questions". "Rechercher la vérité", "vivre dans la vérité" sont des activités pénibles, exigeantes et peut-être toujours insatisfaisantes. En revanche, tout le monde veut être heureux, et si le bonheur est dans le plaisir, le pouvoir ou l'action, la vérité semble une valeur superflue, voire néfaste à notre bonheur, et il faut donc le délaisser.
 
● Pourtant la question posée nous invite implicitement à nous demander si la vérité ne serait pas une condition nécessaire au bonheur. Loin d'être inconciliables, les deux notions seraient liées. En quel sens alors devrait-on préférer l'une à l'autre ?
 
 
 
III - LES PISTES DE REFLEXION
 
● Pour traiter le sujet, il est peut-être bon de partir de l'opinion spontanée : le bonheur est préférable à la vérité. "La philosophie ne vaut pas une heure de peine" disait Pascal.
On peut montrer assez simplement que la vérité est une exigence pénible et difficile, source de cruelles désillusions, alors que le bonheur est une finalité naturelle de tous les hommes, simple et aisée à trouver si on ne réfléchit pas trop.  
Pour approfondir, vous pouvez vous référer à Calliclès (qui valorise le bonheur dans la puissance et le pouvoir) reprochant à Socrate son inutile et nuisible recherche de la vérité (Platon, Gorgias)
 
● Mais pour être heureux, ne faut-il pas avoir une vision claire et lucide de la réalité et de l'existence ? Le stoïcisme et l'épicurisme antiques, même s'ils admettent que le bonheur est le souverain Bien, montrent que l'on ne peut l'atteindre que grâce à une conception vraie du réel. Le bonheur est inséparable de la science !
 
● Enfin, vous pouvez penser aux cas où dire la vérité nous semble être un devoir, même s'il va à l'encontre de nos désirs et de nos intérêts ; de même, savoir la vérité est souvent préférable à l'illusion, même si cela va à l'encontre de nos espérances. La morale du devoir chez Kant en serait une bonne illustration philosophique.
 
 
 
IV - LES PISTES DE DEVELOPPEMENT
 
a - pourquoi donc vouloir la verite ?
 
● Il s'agit d'être heureux ici et maintenant. Quelque soit le contenu que l'on place dans le concept de bonheur (plaisirs, richesses, pouvoirs). Cette idée semble être un but plus satisfaisant et urgent que la vérité.
 
● Le concept de bonheur semble incompatible avec celui de vérité. La recherche des plaisirs, richesses, pouvoirs nécessitent souvent le mensonge, la tromperie, la manipulation. De plus, vivre heureux ne serait-ce pas vivre dans l'illusion ?
 
● Certes, tous les hommes veulent être heureux, mais savent-ils en quoi cela consiste et comment y arriver ?
 
b - la verite, unE condition necessaire au bonheur ?
 
● Les dangers de l'illusion et de l'irréflexion dans la recherche du bonheur : à chercher aveuglément le bonheur, on risque de ne jamais le trouver. Comme dit Pascal : "Tous les hommes veulent être heureux, même celui qui noue la corde pour se pendre"  
 
● Le concept de bonheur semble exiger une clarification. Il s'agit alors de rechercher en quoi il consiste véritablement, et quels sont les moyens pour y arriver. On ne peut pas le penser séparément d'une conception de l'univers et de la place de l'homme dans cet univers et peut-être même de connaissances encore plus précises sur la physiologie et psychologie de l'être humain.
 
c - faut-il sacrifier le bonheur A la vEritE ?
 
● Le concept de bonheur est-il suffisamment clair et distinct pour être choisi comme idéal de vie ? Il n'est pas certain que l'on puisse dériver de cet "idéal de l'imagination" des règles infaillibles de conduite.
 
● Le concept de devoir, en particulier de devoir de vérité, ne serait-il pas un concept plus clair qui, s'il ne nous permet pas nécessairement d'être heureux, nous rend au moins digne de l'être ?
 
 
 

n°719935
Gwen292
Posté le 12-06-2006 à 15:18:11  profilanswer
 

Le Corrigé
Dissertation : Culture et universalité  sujet  
   
 
 
I - L'ANALYSE ET LES DIFFICULTES DU SUJET
 
Un sujet sur la notion de culture demande toujours de l'aisance et de l'habileté. Il faut absolument que vous mettiez un contenu concret sous la notion abstraite de culture. En l'occurrence, il était utile de faire appel à quelques connaissances d'anthropologie et d'ethnologie.  
Par culture, on désigne l'ensemble des productions matérielles et spirituelles d'une société d'hommes (langue, art, technique, croyances, etc.).
Toute culture contient, par définition, des valeurs, c'est-à-dire des normes de comportement et de croyances. Par exemple, les sociétés occidentales affichent comme valeur fondamentale la liberté. Cette valeur se traduit aussi bien sur le plan politique (système démocratique) que sur le plan économique (liberté d'entreprendre).
 
II - LA PROBLEMATIQUE
 
Le problème en jeu dans le sujet apparaît lorsqu'on interroge la notion d'universalité. Est universel ce qui est valable partout et pour tous.  
On voit bien que chaque culture considérée isolément, est particulière : elle se développe dans un espace et une époque donnée, elle développe telle technique ou telle croyance particulière.
La question qu'on se pose est donc de savoir si les valeurs, les normes qu'elle porte en elle peuvent être étendues aux autres cultures sans dommage.  
En effet, pour être "universalisable" une valeur doit représenter, par rapport à une autre, un gain ou un progrès.  
 
III - LES PISTES DE REFLEXION
 
Pour traiter le problème, vous auriez pu penser :  
 
● Au fait que toute culture est, par définition, créatrice et porteuse de valeurs. Toute culture "croit" en ses valeurs, ce qui signifie qu'elle croit qu'elles sont uniques et donc valables pour tous. C'est en ce sens que les valeurs d'une culture servent de norme à la manière de penser et d'agir des membres d'une culture donnée.  
 
● Au fait que la question de l'universalité des valeurs d'une culture ne se pose que lorsque des cultures différentes se trouvent en contact. Historiquement, l'un de moments importants de la rencontre des cultures a été la conquête de l'Amérique par l'Europe à partir du XVIème siècle.
 
● Au fait que toute culture se prend en quelque sorte comme "norme" : elle juge les autres cultures à partir de ce qu'elle est elle-même. Ainsi Lévi-Strauss raconte qu'au moment de la conquête de l'Amérique, les missionnaires chrétiens se demandaient si les indiens avaient une âme pendant que les indiens eux-mêmes faisaient cuire les missionnaires pour savoir s'ils étaient sujets à la décomposition !  
 
● Au fait que l'universalisation des valeurs peut se faire de façon différente. Par exemple par la violence et la guerre, en imposant à une culture les valeurs d'une autre.  
L'universalisation des valeurs peut aussi se faire d'une manière plus douce : les valeurs d'une culture devenant à un moment donné, plus attirantes, plus séduisantes, s'imposent à d'autres cultures. C'est par ce biais là que la culture américaine est devenue hégémonique et a universalisé ses valeurs (de liberté, d'individualisme, de libre-entreprise).
 
● Au fait qu'on peut distinguer parmi les valeurs propres à une culture, celles qui sont universelles et celles qui appartiennent à son génie propre.  
Ainsi la valeur de la liberté, comme respect des individus peut-être considérée comme une valeur "universelle" car même si elle vient d'une culture donnée, elle n'empêche pas les autres cultures de cultiver leurs valeurs propres à partir du moment où elles sont conciliables avec la liberté.  
 
IV - LES PISTES DE DEVELOPPEMENT
 
Vous pouviez organiser vos idées en trois temps :  
 
A - Toute culture est-elle ethnocentrique ?
 
● Là où il y a culture, il y a des valeurs et les valeurs constituent une norme de comportement et de pensée pour les membres de cette culture.  
 
● Toute culture a tendance à universaliser ses valeurs et à les imposer aux autres cultures comme normes de vie.  
Ex : la conquête de l'Amérique par les Européens.  
 
b - les contacts entre les cultures relativisent-ils les valeurs de chacune ?
 
● Les contacts entre les cultures permettent à chacun de s'ouvrir à d'autres valeurs. Ainsi Lévi-Strauss trouve-t-il chez certains Indiens d'Amérique du Nord des valeurs de justice plus élaborées que les nôtres.
 
● Mais les contacts ne vont pas toujours sans violence, la violence étant la seule tentation d'imposer aux cultures différentes de la nôtre nos valeurs propres.  
 
c - doit-on renoncer A considerer comme universelles les valeurs d'une culture ?
 
● Là, la nuance s'impose. Il faut d'abord distinguer entre les valeurs celles qui peuvent représenter un progrès. En l'occurrence, les valeurs qui préservent le respect de la personne et sa liberté peuvent être considérées comme "universelles".
 
● Mais on ne peut pas universaliser des valeurs à n'importe quelle prix. La violence est exclue car elle est justement contradictoire avec les valeurs qu'elle prétend imposer. On ne peut pas imposer la liberté par la violence.
 
 

n°719937
Gwen292
Posté le 12-06-2006 à 15:18:38  profilanswer
 

Le Corrigé
Commentaire d'un texte philosophique : L'origine de la société  sujet  
   
 
 
I - L'ANALYSE ET LES DIFFICULTES DU TEXTE
 
Ce texte d'Alain est tiré d'un recueil de propos, les Propos sur les Pouvoirs, où l'auteur analyse minutieusement le fonctionnement de la politique, des institutions et de la machine sociale. Ses grands thèmes sont à l'origine de la société et le rapport entre l'économie et la politique.
 
Il n'est pas d'abord aisé, car comme tout texte originel, il réfute un préjugé qu'il faut au préalable avoir bien identifié. De plus, comme souvent chez Alain, l'argumentation est dense, rapide, et les exemples très concrets, ce qui peut vous dérouter.
 
II - L'IDEE PRINCIPALE DU TEXTE  
 
Dans ce texte, Alain se propose d'éclaircir un problème fondamental de la philosophie politique, celui de l'origine de la société. Cette question n'est pas l'historique : en y répondant, on répond aussi à la question du lieu social, autrement dit de la force qui maintient les hommes entre eux malgré la haine et la désunion. La thèse d'Alain est simple : c'est la peur, et non le besoin (ici le besoin de se nourrir) qui est à l'origine de la société.
 
Pour Alain, l'enjeu est de montrer les priorités qui s'imposent à l'homme et le conduisent à former un groupe social homogène et stable. Pour ce faire le texte va s'attaquer à un préjugé bien ancré, celui de nécessité économique, qui telle la pesanteur, suffirait à tout expliquer. Alain souhaite démontrer que la nécessité politique est fondamentale, et qu'elle n'est pas dérivée de l'économique.
 
III - LES NOTIONS-CLES DU TEXTE  
 
Un des concepts-clés du texte est la notion d' "Economique" : nous dirions aujourd'hui l'économie. Alain entend par là la nécessité matérielle d'assurer sa subsistance jour après jour, de reconnaître et satisfaire ses besoins fondamentaux. Avec les penseurs libéraux comme Hobbes ou Locke (XVIIème-XVIIIème siècles), la nécessité économique devient de plus en plus l'explication dominante : la société n'est pas créée par Dieu, elle n'est pas non plus naturelle, elle naît d'un mécanisme passionnel comparable aux mécanismes de la physique. Alain n'est pas opposé à cette explication, mais il prétend hiérarchiser les mécanismes en question.
 
Il souligne l'importance et l'antériorité de l'organisation politique par rapport à l'organisation économique. Il oppose en ce sens le besoin de manger au besoin de dormir. Le besoin de manger ne m'associe pas nécessairement à autrui : je peux constituer un groupe pour chasser, mais je peux aussi trouver ma nourriture par moi-même dans la cueillette. Au contraire, le besoin de dormir suppose quelqu'un qui veille sur moi, une sentinelle, un associé. Voilà pourquoi Alain dit que la cité est militaire avant d'être économique : la figure du soldat en veille est plus fondamentale que celle du chasseur ou du marchand. La recherche d'autorité est antérieure à la recherche de la subsistance dans la genèse du lieu social.
 
IV - LA STRUCTURE DU TEXTE
 
On peut distinguer trois mouvements dans l'argumentation : le premier paragraphe pose la thèse d'une façon tranchée, en concluant que "l'homme est citoyen par nature". L'exemple de peuples disposant d'une organisation politique sans organisation économique est probant. Contrairement aux apparences, la société commence par l'autorité politique, l'établissement de hiérarchies (militaire, religieuse). L'homme, comme disait Kant, est l'animal qui à besoin d'un maître. Tel est le besoin d'organisation, de structuration de la société. Cette idée va dans le sens de Hobbes, pour qui les hommes ne deviennent sociaux que dans la reconnaissance d'une puissance supérieure qui les domine tous. Mais Alain fait naître cette peur dès l'origine, dans la nécessité des gardiens du sommeil. Ce sont ces gardiens qui véritablement fondent la cité. L'homme est "citoyen par nature", s'inscrit d'emblée dans l'ordre politique plutôt que de constituer un groupe de chasseurs. Une meute de loups n'est pas une société humaine.
 
La seconde partie (jusqu'à "et non pas de la faim" ) prend l'exemple très original du sommeil. Ici aussi Alain retrouve Hobbes, pour qui la force physique ne suffit pas pour se dispenser des avantages de la vie en société. Le corps le plus fort est neutralisé, réduit à néant par le sommeil, et ceci huit heures par jour ! Ce besoin de protection fonde la cité dans l'alternance veille/sommeil : le rythme de vulnérabilité de l'individu devient un rythme social. Les "tours de garde" sont la première esquisse de cité : le fondement de la société est militaire, c'est-à-dire nécessitant une réserve de puissance constamment renouvelée et vigilante.
 
Le dernier mouvement pousse l'argumentation vers le paradoxe : la faim n'est pas seulement un lien social secondaire, mais peut même être facteur de déliaison sociale. Ici Alain oppose l'espace et le temps : l'espace de la chasse disperse (les hommes se séparent), alors que le temps, le cycle du sommeil rassemble dans la même vulnérabilité. La nourriture ne concerne que l'individu, le sommeil se partage.
 
V - LES PISTES DE DEVELOPPEMENT
 
Cette analyse du lien social par Alain montre à quel point l'origine de la nécessité est le problème central de la philosophie politique moderne Vous pouvez évidemment opposer ces conceptions aux conceptions classiques qui, par exemple chez Aristote, défendent la naturalité de la cité qui n'est qu'une famille élargie. Vous penserez aussi à Platon, pour qui les besoins qui fondent la société ne sont pas ceux qui la perpétuent : la cité tend à multiplier les besoins, par recherche de distinction sociale : les vrais besoins sont perdus de vue, ils sont remplacés par des désirs infinis et sources de désordre. Ce qui fonde la société la menace tout autant. Il pouvait être pertinent de relever cette ambivalence qui fait de chaque citoyen un tyran et un anarchiste en puissance !
 
 

n°720014
bakabaka
Posté le 12-06-2006 à 15:53:12  profilanswer
 

ouahu merci beaucoup gwen. Pour ma part, j'ai pris l'origine de la société et je pense avoir > 12 enfin, j'espère :D
 
thèse : l'homme est citoyen par nature
Pb : quelle est la nature du lien social
 
et vous ?

n°720022
Profil sup​primé
Posté le 12-06-2006 à 15:56:22  answer
 

y'a déjà un topic bac 2006............. :sarcastic:

Message cité 1 fois
Message édité par Profil supprimé le 12-06-2006 à 15:56:39
n°720331
Gwen292
Posté le 12-06-2006 à 18:27:42  profilanswer
 

Il y a peut-etre déjà un topic bac 2006 mais est ce qu'il y a quelqu'un qui a payé les corrections de philo pour en faire profiter les autres ???lol

n°720333
Gwen292
Posté le 12-06-2006 à 18:28:55  profilanswer
 

ben moi j'ai choisi le sujet 1 !! Et j'ai surtout parlé de Freud, de la psychanalise et du cas Elisabeth !!

n°720344
ghost_wing​ed
Posté le 12-06-2006 à 18:33:34  profilanswer
 

Euh cher Gwen, j'aimerai bienn savoir de quelle série vous parlez la : de L sans foute non?
Parce que moi jsuis en S, j'ai pas eut les memes sujets  
A moins qu'on m'ai filé de mauvais sujets  :lol:  
ça serait plutot embêtant :(

n°720365
jaguargorg​one
I'm Jack's subliminal warning
Posté le 12-06-2006 à 18:44:49  profilanswer
 


:jap:


---------------
Un modérateur n'est pas là que pour emmerder le monde. Il a aussi un rôle important d'organisation de la section, un peu comme un CRS :o

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