slt, est ce que quelqu'un pourait me dire si ce que j'ai fait ce n'est pas faux car je dois avoir une bonne note pour rattraper mon premier DS que j'ai loupé. Merci d'avance.
Sa mission, redonner ds couleurs à CACHAREL.
Pour rajeunirsa marque, Jean Bousquet, l'exmaire de Nîmes, a choisi cette working girl de 40 ans, qui ne manque pas de caractère.
Un personnage, Chrystel Abadie. Avec Jean Bousquet, l'inoxydable fnater de Cacarel, elle forme un tandem détonnant dans l'univers de maisons de couture française. Elle: 40 ans, diplômée HC,rapide, directe, capable de reprendre le boulot quinze jours après la naissance de sa deuxième fille. Lui: 73 ans, autodidacte, propriétaire de 80% du capial, maire UDF de Nîmes de 1983 à 1995, toujours impeccable dans son costume de patron paternaliste,et fort en gueule."Si tout se passe bien, confie-t-il, je partirai à la retraite en février. J'ai tout de suite été séduit par le tempérament de Chrystel"
Tout changer: ce n'est pas une figure de style, mais bien la mission qui lui a été confiée. Le président Bousquet a beau parler de "stratégie de repositionnement", l'arrivée d'une directrice générale au siège parisien de la rue Tronchet s'est traduite par un dynamitage à tous les étages. La cible, d'abord. Adieu, mamies versaillases et petites bien sages à la messe de 11 heures: la marque vise désormais les peuplades branchées.
Fini les tissus à fleurs Liberty qui sentaint bon la bourgeoise de province. Chrystel Abadie s'est séparée des créateurs Hervé Yvrenogeau et Thierry Rondenet pour donner les plein pouvoirs au couple britanique, stylite fantasque enrôlé en 2001.
"Dès notre premier entretien, je lui ai précisé qu'elle devrait un jour coacher mes enfants pour ma succession. Pas maintenant, non, quand la situation sera rétablie. C'est prévu"
question: compléter
Nom de l'entreprise: CACHAREL
propriété du capital: privée
le dirigeant est-il propriétaire? non
le capital est-il sous contrôle familial?non
la famille est-elle impliquée dans la gestion de l'entreprise?oui
buts recherchés:redresser l'entreprise et la mettre à l'abi d'une offre publique d'achat hostile.