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Auteur Sujet :

Vega

n°4810942
demandred
Posté le 08-02-2005 à 19:13:52  profilanswer
 

bonjour à tous,  
ceci est mon premier post alors veuillez être indulgents si je fais quelque chose de maladroit ou si je ne respecte pas exactement les règles du forum :sweat:  
alors voila, Vega est une histoire que j'écris depuis quelque temps déjà et je me suis rendu compte que lorsque je n'étais pas lu, je perdais toute motivation c'est pourquoi je vous propose de la lire et de me donner vos avis et critiques afin de m'améliorer
c'est sans grande prétention (si ce n'est celle d'être potable voire divertissante) mais j'espere un jour écrire quelque chose de publiable et il serait prétentieux de dire que je pourrais le faire à l'âge  de 17 ans(oui j'ai 17 ans :D ), c'est pourquoi je considère cette histoire plutôt comme le point de départ d'un long voyage(pas trop long j'espere :heink: )
voila tout est dit sur ce, bonne lecture :pt1cable:  
 
 
Chapitre I :
 
« Seigneur Drenwyn, la situation est plus que critique. Notre rideau défensif est qur le point de céder et nous manquons d’unités mobiles pour faire tenir la derniere ligne qui sert à contenir nos ennemis.  
D’après les rapports les plus récents, les Titans contrôlent toutes les Tribus avec lesquelles nous partageons nos frontières et possèdent tout les éléments favorables à la mise en place d’un siège contre lequel nous ne pourrions résister plus d’une semaine. Voire quelques jours. »
 
Drenwyn contempla tour à tour les faces de ceux qui constituaient son état-major. Leurs visages étaient tous fermés et exprimaient une profonde déception. Il esperait seuleuement que son propre visage n’arborait pas le même air depité.  
Cette réunion se tenait dans la plus haute salle de la fière Tour d’Ambre. La Tour d’Ambre. C’était une tour aux murs d’une couleur changeante et qui refletait l’espoir de tout un peuple en même temps que les rayons du soleil qu’elle semblait capturer et faire rejaillir en une abondante fontaine de papillons de lumière aux ailes diaphanes.  
Le sommet de cette tour consistait en un dôme transparent et en apparence indestructible qui culminait si haut, si haut, que ceux qui admirait le monde depuis le point de vue qu’il offrait avaient la sensation de côtoyer le royaume infini des nuages et du ciel.
La Tour d’Ambre était reputée être l’édifice le plus imprenable du monde mais egalement une des plus belles merveilles qu’aient accomplies les hommes. C’était ce que se disait tout ceux qui contemplait ses lignes fières et ses angles indomptables,  et qui ressentait dans leur chair, l’aura de splendeur qu’elle dégageait. Elle avait inspiré bon nombre de poètes et d’artistes qui, encore aujourd’hui venait y puiser leur inspiration comme si sa seule vue leur rendait leur énergie créatrice perdue.
Même en ces temps de guerre et de souffrance,  elle se dressait orgeuilleusement de toute sa hauteur comme si elle voulait atteindre le ciel.
 
« Est-ce que nous avons des nouvelles de la Tribu de Delpherion ? demanda Drenwyn d’une voix peu convaincue.  
Il se retenait avec difficulté de s’affaler sur le Trône d’Ambre. Ce trône dans lequel il se tenait jadis si fièrement.  
-En effet, répondit le capitaine. Cepandant, ce ne sont pas les nouvelles que nous attendions. Il semblerait que Greed, le Chef de la Tribu de Delpherion, ait rejoint les rangs des Titans et nous ait tourné le dos malgré les traités d’alliance que sa Tribu avait signé avec la nôtre il y a deux cents ans déjà..  
Comme l’on déjà fait beaucoup de nos alliés, il semble avoir compris que les Titans étaient en train de prendre l’avantage sur nous et il a choisi en conséquence de se mettre du côté du plus fort.
-C’est une décision judicieuse, soupira avec lassitude Drenwyn. N’importe quel Chef Tribal voulant préserver son peuple ferait la même chose. Ainsi, je suis delaissé de tous. »
Dès que ces mots sortirent de sa bouche, Drenwyn regretta de les avoir prononçés. Son père lui avait toujours appris à ne jamais montrer ses doutes à ses hommes et voilà qu’il se laissait aller à de tels sentiments alors qu’il devait se montrer fort.  
 
« Le Chef ne doit jamais montrer qu’il est un être comme les autres car alors, ceux qu’il dirige ne pourront se transcender jusqu’à la mort pour lui. »
 
C’était la dernière chose que son père lui avait dîte avant de mourir. La derniere phrase qu’il ait prononçé.  
En poussant son dernier souffle, il avait laissé à Drenwyn beaucoup plus que la tristesse de perdre un être cher.  
C’est à partir de ce jour-là qu’il s’était retrouvé alors porteur du fardeau qu’avait porté son père avant lui et le père de celui-ci avant lui et son père encore avant lui et ce, en remontant jusqu’à un temps qui avait disparu des mémoires et des archives.  
Drenwyn  s’était alors retrouvé avec la lourde mais néanmoins prestigieuse tâche de mener tout un peuple, tout une race même vers la victoire dans la terrible guerre qu’ils menaient depuis des siècles contre leurs ennemis de toujours : les Titans.  
La Guerre des Dieux comme certains l’appellaient.  
Depuis plusieurs siècles, Kamis et Titans se livraient une guerre totale. Une guerre qui avait rapidement entrainé toutes les Tribus dans leur champ d’action.  
Pour beaucoup, les Kamis et les Titans étaient les races les plus puissantes de toutes et quand la guerre éclata, toutes les Tribus durent faire un choix. Kamis ou Titans. Titans ou Kamis.  
Les Tribus humaines durent choisir.  
Le monde entier était le théâtre de cette guerre qui aujourd’hui, semblait sur le point de se finir. A l’avantage des Titans.  
Drenwyn était le fils du plus grand chef qu’ai jamais connu le camp des Kamis.  
Durant son règne, son père avait infligé de terribles dommages aux Titans et son génie militaire était tel qu’il avait presque failli faire tomber à lui seul les Titans avant d’être tué dans la plus grande offensive jamais organisée par les Kamis. Un lamentable échec.  
Une offensive qur le Sanctuaire des Titans qui avait avorté et affaiblie dangeureusement la Tribu Kami ainsi que ses plus puissantes ribus Vassales.
C’est ainsi que Drenwyn s’était retrouvé propulsé Chef de la Tribu Kami et Protecteur des Tribus Vassales à l’âge de 18 ans.  
Aujourd’hui, il en avait 35 ans et de toute evidence, il avait échoué. De toute evidence, il n’avait pas été digne de son nom prestigieux et encore moins de son père.
Même s’il ne voulait pas se l’avouer, c’est d’une certaine maniere à cause de son père que la Tour d’Ambre était qur le point de tomber aujourd’hui. A cause de cette maudite bataille. La bataille de trop qu’avait livré son père et dont lui-même payait le prix aujourd’hui.    
 
« Que faisons-nous maintenant Seigneur Drenwyn ? » demanda timidement le capitaine Dred.
Drenwyn ne répondit rien. Il savait qu’il n’avait plus le choix. Il se sentait tellement vulnerable. Vulnerable. Quel déshonneur pour celui qu’on appellait jadis le Seigneur de la Tour. Celui qui était consideré autrefois comme le plus puissant du monde.  
Tout cela appartenait à un passé révolu. Aujourd’hui, il suait à grosses gouttes et ses mains tremblaient nerveusement comme un animal devant se rendre à l’abattoir.  
Il n’essayait même plus de cacher son désarroi à ses hommes.  
C’était inutile maintenant.
Les Kamis avaient perdus la guerre.  
Il ne lui restait plus qu’une chose à faire.  
Les Kamis avaient perdus la guerre.
« Sortez-tous immediatement et fuyez aussi loin que vous pourrez, dit-il. Même si beaucoup de nos alliés nous ont trahis, certaines de nos Tribus Vassales nous sont restés fidèles.  
Je veux que vous tous ainsi qu’une partie de l’Armée kamie abandonne ses positions pour organiser le départ de tout les réfugiés Kamis vers ces Tribus. Sauvez le plus des nôtres que vous pourrez. Que la Grâce du Destin soit avec vous. Maintenant partez ! »
Sa voix avait été plus rauque et sèche qu’il ne l’avait voulu mais cela eu au moins le merite de faire deguérpir ses hommes sur le champ. Ils s’en allèrent sur le champ, sans même jeter un coup d’œil en arrière.  
Très bien. Il savait ce qu’il avait à faire. Il se leva de son trône lestement. Debout face à cet antique objet pour lequel bon nombre de ses ancêtres avaient donné leur vie et versé leur sang, il tendit la paume de sa main doite et le Trône d’Ambre, symbole du pouvoir Kami depuis des siècles et sur lequel seuls s’asseyaient les maîtres du monde, explosa en projetant des débris de bois et de verre qui s’écrasèrent sur les murs de pierre dans un vacarme assourdissant.  
Comme le lui avait dit son père des années plus tôt, à l’endroit ou se tenait le Trône, un minuscule coffre de bois était posé sur le sol.  
Un minuscule coffre de bois pour lequel des membres de sa famille avaient donné leur vie et surtout damné leur âme. Lui même était sur le point de suivre leur tragique exemple en recourant au sort interdit qui se trouvait dans ce si minuscule coffret.  
C’était la seule chose qui lui restait à faire.  
Alors qu’il tenait la petite boite dans ses grandes mains de de guerrier, les paroles de son père lui revinrent à l’esprit avec netteté.  
 
« Souviens toi fils, la technique qui se trouve dans le coffret est une technique très puissante mise au point par de lointains ancêtres de notre clan mais surtout, n’oublie jamais que c’est un Sort Maudit.  
Les Sorts Maudits ne doivent jamais être utilisés à la légère car, ayant recours à la magie noire et surtout car leur puissance est terrifiante, il requiert un sacrifice.  
-Un sacrifice ? demandais-je.  
-Oui un sacrifice. La gravité de ce sacrifice est proportinonnel à la puissance du Sort. Cela peut aller du sacrifice humain, au sacrifice d’un membre de sa famille ou même, au sacrifice de son âme.  
Le Sort qui est caché dans ce coffre requiert un sacrifice de ce type. Celui qui l’utilise, verra son âme damné dans les plus terribles cerles des enfers jusqu’à la fin des temps et sans aucun espoir de rédemption. Jamais. »
 
Aujourd’hui, ces paroles résonnaient avec une note encore plus terrifiante qu’à l’époque. Drenwyn s’étais juré ce jour-là de ne jamais avoir à cette abomination mais à l’époque son père était toujoturs vivant et les Kamis avaient l’avantage. Tout était beaucoup plus facile à l’époque.  
Il était un Chef Tribal maintenant et en tant que tel, il savait ce qui lui restait à faire.  
Il ouvrit le coffret et sortit le vieux parchemin sur lequel était inscrit avec du sang l’idéogramme qui activait le Sort Maudit.  
Il analysa l’ideogramme grâce à ses connaissances assez étendues en magie blanche aussi bien que noire et son estomac se révulsa quand il le décryta.  
Comment un membre de son clan avait-il pu mettre au point un tel sceau ?  Il n’avait jamais rien vu d’aussi abominable que ces quelques lignes de sang sur ce vieux papier et pourtant, durant sa vie et sur les champs de bataille, il pensait avoir tout vu. Cependant,  
 
Sa main ne tremblait plus maintenant.  
Son esprit ne vacilla pas non plus quand il concentra son Fluide et qu’il activa le sort de magie noire.  

mood
Publicité
Posté le 08-02-2005 à 19:13:52  profilanswer
 

n°4810950
elianor
bannie 17 fois
Posté le 08-02-2005 à 19:15:00  profilanswer
 

Ca manque de sexe :o


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JE JE SUIS LIBERTINEEEEEEEEEEE JE SUIS UNE CATINNNNNNNNN §§§§§§§§
n°4819887
demandred
Posté le 09-02-2005 à 21:44:07  profilanswer
 

ca manque de sexe?  
c'est vraiment le seul commentaire que y 'a faire sur mon histoire????

n°4820588
the real m​oins moins
Posté le 09-02-2005 à 22:48:08  profilanswer
 

non, on pourrait aussi te dire qu'un estomac ne se révulse pas, ou alors ce que t'est vraiment très malade


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Hey toi, tu veux acheter des minifigurines Lego, non ?
n°4820615
Profil sup​primé
Posté le 09-02-2005 à 22:51:10  answer
 

et on peut ajouter que véga est la planete d'origine de http://www.bernardminet.com/clubdo_photo/serie5a.jpg, et ca c'est une honte.:o
 
sinon, j'ai pas eu le courage de tout lire, je le fais plus tard, promis.
 
Edit: bon, c'est lu. J'ai bien aimé le fond, c'est moins manichéen que ce qu'on lit d'habitude des écrivains amateurs.
C'est vrai que les descriptions sont un poil longuette.
je lirais la suite avec plaisir.


Message édité par Profil supprimé le 09-02-2005 à 23:33:04
n°4820641
show
Posté le 09-02-2005 à 22:53:16  profilanswer
 

il y a d'enormes fautes, des complications dont on se passerait bien et qui nuisent à la clarté de tes descriptions; en gros tu décris ton univers avec tes mots
 
tu es surement jeune;-)
mais il y a de l'idée!

n°4820875
demandred
Posté le 09-02-2005 à 23:21:50  profilanswer
 

je viens juste de reconnaitre les deux extra-terrestres ^^
mince, le nom de leur planete c'était vega??????
j'avoue, j'avoue que c'est une honte^^

n°4827569
demandred
Posté le 10-02-2005 à 22:30:24  profilanswer
 

chaud devant, voila le chapitre 2  
bonne lecture et n'hesitez pas à me laisser des commentaires, je suis ouvert à toutes les critiques
 
 
Chapitre II.
 
« Dépêche-toi Shania ! On est déjà en retard pour aller au Temple et tu sais à quel point les Prêtresses n’aiment pas ça. »
Je sentis les mains de mon amie Nessica tenter de m’arracher de ma couette mais je m’aggrippai fébrilement à celle-ci comme si ma vie en dépendait. Je ne voulais pas sortir de mon lit. Pas maintenant. J’avais besoin de me remettre les idées en place après ce qui venait de se passer. Non, pas maintenant.  
« Je sais bien que tu es la meilleure d’entres nous toutes mais cela ne te donne pas le droit de faire ce que tu veux, continua mon amie. Souviens toi de ce que t’a dit Fëana-Nin. Tu as beau être un prodige, tu dois quand même respecter les règles du Temple. Je ne pense pas que Fëana-Nin accepte un nouveau retard de ta part. Déjà qu’elle te trouve prétentieuse, si tu arrives encore en retard aujourd’hui, elle s’imaginera que tu la provoques. »
Je sentais nettement percer l’eternelle note de jalousie que Nessica tentait en vain de dissimuler quand elle parlait de mes dons que toutes les Prêtresses qualifiaient d’exeptionnels.  
Selon elles, on n’avait jamais vu un potentiel tel que le mien depuis plus de 1000 ans. Outre le fait de me mettre à l’aise, ce genre de compliments exagerés m’attiraient constamment la jalousies de autres élèves qui, pour la plupart, ne cachaient pas leur haine à mon égard.  
Nessica était ma seule amie mais comme les autres, parfois, je voyais bien qu’elle aussi m’enviait. Au moins, elle ne me détestait pas. Enfin, parfois je me posais réellement la question.  
Finalement, je sortis timidement ma tête de l’abri protecteur et je regardai mon amie droit dans les yeux.  
Decidement, Nessica était une très jolie fille. Son visage était le plus fin que j’avais jamais vu et ses yeux verts émeraudes était pétillants d’énergie et de vitalité. Son visage avec ses pommettes hautes et son nez aquilin aurait très bien pu être celui d’une de ces statues que nous adorions au Temple. Les statues des Titans.  
Son sourire faisait tourner la tête de la plupart des garçons qui passaient près d’elle et plus d’une fois, j’avais entendu certains d’entre eux soupirer de déception quand ils avaient appris qu’elle avait decidé de vouer sa vie aux Titans et à la foi. Nous avions toutes les deux choisies de devenir Prêtresses et cela signifiait une vie châste. Tant pis pour les garçons qui rêvaient secrètement d’elle.  
Nessica avait 1 an de plus que moi c’est à dire 20 ans. Elle était dans la fleur de sa beauté et cela se voyait malgré les habits simples que portaient les Aspirantes de Cycle Supérieur.  
Cette tenue consistait en un pourpoint de soie verte absolument hideux avec ses manches bouffantes et son col montant presque jusqu’au bas du visage. Le but d’une telle abomination était clairement de cacher notre feminité mais chez Nessica, cela se révelait tout simplement inutile. Son port altier et ses formes feminines ne pouvaient être cachées. Même par cet immonde pourpoint que nous portions toutes et qui remplissait parfaitement son office chez la plupart d’entre nous qui n’étions pas aussi bien faîtes que Nessica.  
Nessica s’était souvent faîte réprimander par la Grande Prêtresse, Fëana-Nin comme l’appellaient les plus assidues d’entre nous en rajoutant la particule –Nin en signe de respect, pour mettre en valeur son charme naturel mais moi je savais bien pourquoi Nessica n’hésitait pas à adresser des sourires à tout les hommes qui pénetraient dans le Temple.  
C’était pour elle une manière de me montrer qu’elle avait quelque chose que je n’avais pas. La beauté.
 Je n’était même pas sûre qu’elle le faisait consciemment mais je savais que tout au fond de son être, elle tirait une certaine satisfaction de se savoir plus belle que moi. Je la comprenais d’une certaine manière. Comment ne pas lui en vouloir de m’en vouloir justement ? J’étais le fruit de toutes les attentions sans que je ne fasse rien pour les attirer à moi alors que la majeures des autres Aspirantes devaient constamment lutter pour faire la preuve de leur capacités et se faire remarquer.  
C’était une maniere pour elle de prendre sa revanche.  
Je me demandais alors si je pouvais réellement lui faire confiance. Pouvais-je me confier à elle sans risques qu’elle aille tout répeter à Fëana, la Grande Prêtresse ?  
Non, Nessica n’était pas du genre à cela. Je pouvais lui faire confiance. Oui, pas de doute à avoir. De toute manière, j’avais absolument besoin de me confier. Je ne pouvais pas garder tout ça pour moi.  
« Je crois que je ne viendrais pas au Temple aujourd’hui, dis-je d’une voix neutre. Je me retenais d’ajouter que je n’y retournerais probablement jamais.  
-Pourquoi qu’est ce qui t’arrives ? Tu es malade ? Si tu veux, je peux appeler Sonique, elle est très douée en guérison. Pas autant que toi c’est vrai mais elle se débrouille mieux que la plupart d’entres nous. »
Je soupirai. Encore cette note qui dénottait la jalousie dans sa voix et qui me faisait douter de la confiance que je pouvais plaçer en elle. Cependant, je continuai.  
« Inutile d’appeler Sonique. Même elle ne peut rien contre le problème que j’ai. La meilleure guerrisseuse du Temple non plus ne pourrait pas me venir en aide. »
Je vis dans les magnifiques yeux verts de Nessica qu’elle était réellement inquiète pour moi. Réellement. J’avais de nouveau confiance en elle.  
Elle me saisis fébrilement les mains et je sentis qu’elles tremblaient. Au contraire, les miennes étaient tout à fait tranquilles et immobiles.  
« Ferme la porte s’il-te-plait. » dis-je d’une voix faible.  
Pendant qu’elle s’éxecutait, je sortis de ma couverture et m’installai sur le bord du lit. Nessica revint et s’assit sur le bord du sien à moins d’un mètre du mien de sorte que nous étions en face l’une de l’autre.  
Je lui saisis les mains. J’avais besoin de toute l’aide qu’elle pouvait m’apporter pour me sentir à l’aise. Heureusement que nous étions dans cette chambre. C’était le seul endroit au monde où je me sentais à l’aise.  
C’était une minuscule pièce dans laquelle nous logions depuis que nous étions passées Aspirantes de Cycle Supérieur. Les Aspirantes de Cycle Inférieur et de Cycle Intermediaire logeaient dans des gigantesques dortoirs impersonnels où les lits s’alignaient comme des soldats. Des lits ? C’était plutôt des matelas posées à même le sol. Pour forger le caractère soi-disant.  
Heureusement, quand nous étaions passés au Cycle Supérieur, c’est à dire les 3 dernières années dans notre formation pour devenir Prêtresses, nous avions demenagé du dortoir dans lesquel nous nous entassions depuis 8 ans pour venir dans cette chambrette qui, en comparaison du froid dortoir était un palais de marbre.
C’était une piece minuscule dont les murs consistaient en parois de bois craquantes ce qui faisait ressembler la pièce à une cabine de navire. Avec les mouvements du bateau en moins. Une ouverture rectangulaire et bouchée d’un verre épais de seconde main  que les constructeurs du bâtiment avaient eu le culot d’appeler fenêtre était pratiquée dans le mur qui faisait face à la porte et offrait une vue grandiose sur la Grande Place de la Tribu de Neroway. Cette fenêtre en plus d’illuminer la chambre des doux rayons du soleil offrait un panorama sur toute la Tribu absolument incroyable.      
C’était le seul attrait réel de cette pièce mais malgré les murs de bois et le bruit constant à cause de la Grande Place qui se trouvait juste en dessous, c’est ici que je me sentais à l’aise. Ici et seuleument ici.  
Rassurée par tout ces éléments familiers, je commencai.  
« Cette nuit, il m’est arrivé quelque chose que je n’oublierais jamais. Quelque chose qui, j’en suis sûre va changer ma vie à tout jamais. Oui. Plus rien, plus rien ne sera jamais plus comme avant.
-Tu commences à me faire vraiment peur Shania. Dis-moi vite qu’est ce qui t’es arrivé, je n’en peux plus de toute cette attente. »
Je ne dis plus rien. Malgré tout mes efforts, je ne pouvais pas articuler le moindre mot. Pas la moindre syllabe ne pouvait sortir de ma bouche. Impossible, j’étais comme aphone. Comme muette.  
Cependant, comment feriez-vous, vous, pour annonçer à votre meilleure amie que vous n’étiez plus vierge ? Comment feriez-vous pour lui annoncer que vous aviez été pratiquement violée cette nuit par le plus grand ennemi de votre peuple. Par un Kami. Non pas par par n’importe quel Kami. Par le Chef de la Tribu Kami.  
Après plus de deux minutes de silence où j’évitais même son regard, je parvins cependant à le lui avouer. Je lui avouais que cette nuit je m’était faite en quelque sorte violée.
Je n’osais pas lui avouer que c’était beaucoup plus complexe que ça. Beaucoup plus complexe.  
Sa réaction fut immediate et je me felicitais de ne pas lui avoir tout raconté en bloc.  
« Oh par les Saints Titans, qu’est ce que tu vas faire ? Est-ce que tu sais ce que cela veut dire ? Si tu n’es plus vierge, tu ne pourras pas terminer ton Cycle Supérieur et tu ne seras jamais Prêtresse.  
Tu vas être déshonnorée et peut-être même renié par ta propre famille. Et le pire de tout cela, c’est que tu risques de passer devant le Tribunal Inquisitoire qui pourras, s’il le décide te priver de ton Fluide et donc de tout tes pouvoirs et de te bannir à tout jamis de notre Tribu. Ton nom ainsi que celui de toute ta famille va être souillé pendant des siècles. Par les Saints Titans, est ce que tu te rends compte de cela Shania ? »
Je me retins de justesse de lui assener une claque qui lui aurait remis les idées en place et lui aurait fait instantanement comprendre qu’elle n’était pas la Grandre Pretrêsse du Temple qui faisait la morale à une Aspirante de Cycle Inférieur.  
Me prenait-elle pour une idiote ? Croyait-elle que j’avais choisi ce qui s’était passé avec ce Kami ?  
Bien sûr que je savais ce que je risquais. J’y pensais depuis des heures et cette petite idiote venait me faire la leçon comme si j’étais une jeune ecervelée incapable de comprendre dans quel pétrin elle était.  
Alors que je ruminais ces mauvaises pensées envers Nessica, je vis ses grands yeux verts se mouiller petit à petit jusqu'à ce que deux perles de lumière apparaissent au coin de ses cils et qu’elle éclate en sanglots. Elle pleurait à chaudes larmes et tenait son visage dans ses mains.  
Je la pris instinctivement dans mes bras pour la faire taire en même temps que pour la réconforter. Pendant qu’elle pleurait bruyamment sur mon épaule déjà trempée, je pensais à l’étrangeté de la scène.  
C’était moi qui était menacée d’être deshonorée à tout jamais et bizaremment, c’est encore moi qui consolais mon amie.  
J’étais étonnée de ma propre réaction et du calme que j’affichais. C’est vrai, je venai d’être violée mais pourtant, je ne ressentais aucune souillure ou sentiment de mal être.  
J’était tout simplement sereine. Parfaitement en possession de mes moyens.  
Je savais cependant à quoi était dû mon calme.  
 
Je ne m’étais pas faite violer.
 
Finalement, lorsque Nessica se calma, elle posa sur moi ses yeux encore larmoyants et dit :  
« Par tout les Saints Titans, tu as été violée par un Incube. Il faut absolument prévenir Fëana-Nin. Si un démon rôde dans les environs, les Prêtresses doivent absolument intervenir. »
Soudain, je lus le doute sur son visage et quand je vis son expression incrédule, je compris qu’elle avait deviné.  
« Mais attends, les Incubes sont des démons de niveau intermédiare qui violent les femmes dans leur sommeil, commença-t-elle d’une voix qui trahissait la difficulté qu’elle avait de se souvenir des enseignements sur les forces du mal que nous avions suivi.  
Tu es la plus puissantes Aspirante Prêtresse de la Tribu de Neroway et probablement des autres Tribus Vassales du Sanctuaire des Titans. Tu aurais pu facilement en venir à bout à toi toute seule Shania.  
Pourquoi n’as tu pas utilisé ton Fluide? Mais enfin, pourquoi n’as-tu pas utilisé tes pouvoirs ?  
-Tout simplement parce que ce n’était pas un Incube, dis-je en la regardant droit dans les yeux. C’était un Kami. C’était Drenwyn, le Chef de la Tribu kamie. Le Kami le plus puissant du monde. Malgré tout mon pouvoir, je n’aurais jamais pu arriver à bout d’un pouvoir comme le sien. Toutes les Prêtresse du Temple n’aurait même pas pu le ralentir. Le Seigneur Titan Zéon lui même n’aurait pas pu l’effleurer. »
Je vis ses pupilles décrire des courbes étranges dans ses yeux et je crus sincèrement qu’elle allait s’évanouir sur le champ. Je ne savais pas si c’était pour la révélation de ce que je venais de lui faire ou à cause du terrible blasphème que je venais de prononcer.  
Si la Grande Prêtresse m’avait entendu dire que le Seig… enfin que le Titan Zeon n’aurait rien pu faire contre Drenwyn, je serais immediatement passée devant le Tribunal Inquisitoire.  
Cependant, je ne m’arrêtais pas là et je ne laissais pas Nessica reprendre ses esprits. Ja continuai :
« Et ce n’est pas tout. »

n°4827912
heresiark
Posté le 10-02-2005 à 23:11:18  profilanswer
 

Dans le premier chapitre, tu multiplis les fautes d'orthographes, de styles, les répétitions, les métaphores lourdingues et risibles, etc...
C'est une vraie catastrophe, quoi! J'ai lu le deuxième en diagonale, mais il a l'air bien meilleur.

n°4828437
the real m​oins moins
Posté le 11-02-2005 à 00:48:26  profilanswer
 

heresiark a écrit :

Dans le premier chapitre, tu multiplis les fautes d'orthographes


euh [:el g]


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Hey toi, tu veux acheter des minifigurines Lego, non ?
mood
Publicité
Posté le 11-02-2005 à 00:48:26  profilanswer
 

n°4828460
Toxin
Carpe ★★ Vitam
Posté le 11-02-2005 à 00:52:04  profilanswer
 

Parcouru en diagonale, et j'ai une indigestion de l'auxilliaire être.
 
Pour le contenu il faudrait que je le lise en prenant du temps.


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"If you can walk away from a landing, it's a good landing. If you use the airplane the next day, it's an outstanding landing." - Chuck Yeager. | Chaîne YT | Photos
n°4828507
show
Posté le 11-02-2005 à 00:59:02  profilanswer
 

Toxin a écrit :

Parcouru en diagonale, et j'ai une indigestion de l'auxilliaire être.
 
Pour le contenu il faudrait que je le lise en prenant du temps.


pareil j'ai lu en diagonale
ton délire est trop "perso" et les fautes incitent vraiment le lecteur à décrocher

n°4829063
moystard
Posté le 11-02-2005 à 02:11:29  profilanswer
 

Pour ma part je suis passé outre les fautes, et pour un écrivain "amateur" je trouve ca pas si mal! Tes descriptions sont trop longues par contre, et pour arriver a en faire de longue et de bonne, il faut bien maitriser son style, ce qui n'est pas encore le cas pour ta part! Sinon le contenu est pas ininterressant, je suivrai ca de près :)

n°4829704
the real m​oins moins
Posté le 11-02-2005 à 09:51:47  profilanswer
 

ce que j'aime bien c'est

Citation :

« Par tout les Saints Titans,


là on se dit "ouaaah elle parle bien la fille là, respect :o
et puis

Citation :

« Mais attends, ...


... ha ben non, finalement, c'est une 'caille [:el g]


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Hey toi, tu veux acheter des minifigurines Lego, non ?
n°4830159
Kortex@HFR
Qu'ils sont cons ces lamas !!!
Posté le 11-02-2005 à 11:19:36  profilanswer
 

Je trouve qu'il y a un potentiel. Je suis assez friand de SF, donc la base de l'histoire (le cadre et tout ça) me branche assez, le style, sans être des plus légers, n'est pas rebutant, et je pense qu'il y a quelque chose à exploiter.
 
Passe ton texte dans Word ou OOo pour corriger les fautes d'orthographe, ce qui piquera moins les yeux de temps en temps ;) Sinon, je veux bien lire le troisième chapitre avec plaisir :)
 
[mode Troll]
Pis au moins dans le deuxième chapitre, il y a du sexe. Démoniaque certes, mais bon, on se contente de ce qu'on a :D
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Au coeur du swirl - Mon feed
n°4833317
demandred
Posté le 11-02-2005 à 20:52:21  profilanswer
 

merci à tous ceux qui m'ont laissé un commentaire et je vais essayer de réduire les fautes d'ortographe  
c'est marrant mais je m'étais jamais rendu compte que j'étais aussi mauvais en orthographe  
dire que je suis en terminale L ^^
sinon je dois dire qu'écrire quelque chose qui sort de sa tête c'est incomparablement plus dur que d'écrire une fanfic
le choc est assez rude mais c'est tellement plus agréble en même temps  
bon assez de blabla, voilà le chap 3  
bonne lecture ^^
il est peut-être un peu long d'ailleurs
 
 
 
Chapitre III :
 
« Et le pire dans tout ça, Grande Prêtresse, c’est qu’elle est enceinte. Elle attend un bébé de Drenwyn. »
Nessica était prosternée devant la Grande Prêtresse qui la regardait de haut, comme si sa seule présence souillait l’air de son bureau. Elle la contemplait comme un misérable insecte qui salissait son tapis et la profonde expression de mépris qu’elle arborait continuellement était là encore plus appuyée qu’à l’accoutumée.  
La Grande Prêtresse était une femme longiligne et sèche. Son cou était fin et semblait trop fragile pour supporter sa tête et son visage en lame de couteau. Elle portait une paire de lunettes carrées qui cachait des yeux enfoncés et noirs et son nez, long, mince et plongeant semblait capable de couper n’importe quelle viande.  
Elle portait une longue robe de soie noire qui lui montait jusqu’au cou et dont le tissu ne décrivait aucune courbe. C’était commme si tout son corps n’était qu’une tige plate et sans relief.
Sa bouche eut un rictus quand, de sa position, elle vit le corps de Nessica. Cette petite idiote méritait un châtiment pour…, pour la façon qu’elle avait de se mettre ainsi en valeur.
« Relevez-vous jeune fille, fit-elle de sa voix aiguë, capable d’érafler le verre. Relevez-vous, voyons. »
Elle se retint de donner des coups de pieds dans ce corps, dans ces chairs qui l’outrageait et l’humiliait pour obliger la jeune fille à se relever.  
Nessica obéit et se releva douloureusement en sanglotant après la trahison qu’elle venait de faire. Les larmes de la jeune fille ne suscitèrent chez la Grande Prêtresse aucun sentiment. Toute la détresse que dégageait Nessica coula sur la longue femme comme l’eau sur les feuilles de nénuphars.  
« Vous pouvez disposer maintenant, dit-elle d’une voix rapeûse.  
-Merci, Grande Prêtresse, dit la jeune fille en ravalant ses larmes. Que la Grâce des Titans soit avec… »
Mais la Grande Prêtresse n’écoutait plus et n’entendit même pas la porte de son bureau se refermer sur l’insignifiante… elle ne connaissait même pas le nom de Nessica.  
 
Elle se dirigea d’un pas chancelant vers son bureau et s’écroula dans un concert de craquements d’articulations dans son fauteuil de cuir rouge. Elle sentit des gouttes de transpiration couler lentement le long de son dos osseux.  
Son estomac semblait vouloir remonter jusqu’à sa bouche pour partir en ballade.  
Elle avait envie de vomir.  
Elle voulait tout faire pour retirer d’elle cette souillure qu’elle sentait au plus profond de ses entrailles et qui contractait douloureusement ses viscères.  
Enceinte d’un Kami. Une des ses filles était enceinte d’un Kami. Pas n’importe quelle fille. Pas n’importe quel Kami.  
Shania. C’était la plus puissante Apprentie qu’elle ait jamais vue. Un pouvoir incroyablement puissant. Incomparablement plus puissant que le sien et celui de toutes les plus puissantes Prêtresses du Temple. Elle avait toujours été convaincue qu’un tel pouvoir ne pouvait être qu’une source de problèmes. Visiblement le Kami avait fait attention à ne pas prendre n’importe quelle fille pour engendrer son enfant.  
Drenwyn. Le célèbre Seigneur de la Tour. Ce titre honorifique ne valait plus rien depuis que la veille, les Titans avaient abattu la Tour d’Ambre. Elle l’avait déjà vu lors d’une bataille alors qu’elle participait à la guerre en tant que chef de l’Escadron de soins.  
Elle dirigeait alors une équipe qui intervenait sur les champs de bataille et qui soignait les blessés grâce au Fluide. Qu’ils soient Humains ou Titans.  
Elle l’avait vu se battre. Elle l’avait vu faucher tous ses ennemis avec une effrayante facilité. C’était comme si aucune flèche, aucune arme, aucun coup ne pouvait l’atteindre. Il survolait la bataille comme un dieu guerrier que nulle créature terrestre ne pouvait égratigner. Une force supérieure semblait le protéger.
Elle avait 22 ans et c’était sa première bataille. Malgré son absence totale d’experience, on lui avait immédiatement confié une équipe qu’elle devait diriger alors qu’elle se croyait incapable de commander.
Elle avait vu pour la première fois ces créatures que les Titans, les dieux, avaient tant de mal à vaincre et elle avait alors compris qu’est ce qui rendait les Kamis capables de résister à ceux qu’elle vénérait tous les soirs.
Les Kamis étaient pour elle les créatures les plus étranges du monde. Même les membres du Clan de l’Azur sur la lointaine Ile du Requin ne recelaient pas autant de mystères que les Kamis.  
Elle s’était toujours demandé par quel phénomène extraordinaire ils étaient capables de voir avec les yeux qu’ils avaient ?  Des yeux qui, d’ailleurs, ressemblaient plutôt à des façades de verres.
 En effet, leurs yeux consistaient en deux fenêtres translucides qui changeaient de couleur en fonction de leur humeur. Transparents quand ils étaient sereins, rouges quand ils étaient en colère et noirs comme le jiais quand ils étaient prêts à tuer. Avec une infinité de nuances.    
Cependant, quand ils atteignaient un certain niveau de puissance, la couleur de leurs yeux adoptait une couleur définitive. Seuls quelqu'un d’entre eux parvenait à ce stade et on les appellaient alors des Yaans. Elle n’avait aucune idée de ce que cela pouvait bien signifier.
Drenwyn était un des rares Yaan et ses yeux avaient la couleur de l’argent. Il semblait avoir deux lunes à la place des yeux.  
Comme beaucoup de Kamis, il était incroyablement beau. Son visage était presque feminin mais il dégageait une aura de virilité, presque animale, qui saisissait toutes les femmes et même quelques hommes.  
Les Kamis étaient géneralement aussi grands que les Humains mais Drenwyn lui, était plus petit que la moyenne. Il arrivait probablement à peine au milieu du visage de la Grande Prêtresse, cependant, il avait un tel charisme qu’on avait l’impression qu’il faisait deux fois sa taille réelle et était capable de regarder tout le monde de haut.  
Ses cheveux longs et couleur or étaient attachés en un chignon et dévoilait son visage. Paradoxal était le seul adjectif qui venait à l’esprit quand elle y repensait.
Doux mais volontaire.
Cruel et sage.  
Terrifiant car rassurant.  
Rassurant car terrifiant.
C’était comme de voir de l’eau brûler ou du feu mouiller. C’était ce côté contre-nature dans son visage qui l’avait terrifié. Mais l’avait séduite en même temps.  
C’est ce jour-là qu’elle avait abandonné les champs de bataille et l’Escadron de soins pour le Temple. Elle était tombée amoureuse de Drenwyn à la première seconde ou elle l’avait vue.  
Savoir qu’elle était tombée amoureuse du plus grand ennemi des dieux avait été pour elle une idée insoutenable et quand elle se rendit compte qu’elle commençait à se demander qu’elles étaient les raisons de cette guerre à laquelle elle participait mais dont elle ignorait les raisons, elle raffermit sa foi et entreprit de devenir Prêtresse pour oublier, sa faiblesse.  
C’était cela qui l’avait mené là où elle était aujourd’hui. C’était cela qui avait fait d’elle ce qu’elle était aujourd’hui.
Et voilà qu’une de ses élèves était enceinte de lui. Les pointes d’acier acerées de la jalousie lui transperçèrent implacablement le cœur mais comme elle avait appris à le faire ces dix dernières années, elle enfouit tous ses sentiments au plus profond d’elle-même. Elle était sûre que Shania avait été parfaitement consentante et n’avait pas resisté au charme du Kami. Elle n’avait pas resisté comme elle-même l’avait fait toutes ces années.
Une fois qu’elle eut repris ses esprits, la Grande Prêtresse se leva et saisit une sorte d’urne funéraire dorée posée sur son  bureau  jonché de divers papiers.  
Cette urne était en or massif, fruit du travail d’un maître-artisan et d’une valeur inestimable tant du point esthetique qu’historique puisqu’il y avait longtemps déjà que les secrets de fabrication de tels objets avaient été perdus. Il ne fallait pas moins qu’un tel objet pour contenir la précieuse poudre noire.  
La précieuse matière à l’interieur de l’Urne d’Invocation était une poudre magique uniquement présente dans les plus profondes mines de la Tribu de Vulcain. D’un noir de jiais, elle avait des proprietés magiques (et culinaires)que les mages de toutes les Tribus et de toutes les époques avaient tenté de percer. En vain.  
Autrefois abondante, elle avait aujourd’hui quasiment disparu et la Tribu de Vulcain la vendait à des prix exhorbitants. Le Sel de Vulcain comme on l’appellait était maintenant  utilisé dans les cérémonies magiques les plus complexes.  
Des céremonies telles que l’invocation d’un Titan par exemple.  
La Grande Prêtresse se leva et commença à répandre le Sel sur le sol. Elle traça des lignes, forma des angles, des signes complexes jusqu’à ce qu’elle forme l’Idéogramme d’invocation. C’était un idéogramme que seul une poignée de personnes connaisaient et qui leur avait été enseigné par les Titans eux-mêmes pour les appeler à eux.
Les humains les plus proches des Titans pour ainsi dire.  
Même si elle était une personnalité importante, c’était la première fois que la Grande Prêtresse recourait à ce sort et elle doutait même qu’ aucune anciennne Grande Prêtresse l’ait déjà fait avant elle.  
Cependant, elle possédait là une information capitale pour le Sanctuaire des Titans qui justifiait l’utilisation de Sel de Vulcain mais également, l’invocation du Seigneur Titan Zeon puisque c’est lui qu’elle comptait appeler.
Comme elle l’avait appris quand elle avait été intronisée Grande Prêtresse, elle se plaça au centre du cercle d’invocation et concentra son Fluide. Elle activa la source de pouvoir qui se trouvait à l’interieur d’elle et sentit le pouvoir à l’état brut circuler dans ses veines comme un torrent de feu. Ses yeux se voilèrent d’un rideau de flammes et un vent d’origine inconnue se leva soudain et fit voler ses cheveux gras dans tous les sens.  
Concentrer son Fluide lui procurait une intense sensation de bien-être. Bon nombre de gens restaient muets d’admiration en voyant le déchainement d’energie qu’elle était capable de produire par la seule force de sa concentration  
Soudain, le pouvoir se retira de son corps. Il fuya d’elle comme l’eau fuyant d’un ballon percé pour se répandre dans les lignes de l’Idéogramme qu’elle avait tracé sur le sol.  
Il se répandit comme le feu courant sur le trainée d’alcool et peu à peu embrasa les lignes. Au bout d’une seconde, l’Idéogramme était illuminé de pouvoir, et maintenant qu’il avait été alimenté en energie, le sort s’activa.  
Un Titan apparut face à la Grande Prêtresse qui s’agenouilla instantanement comme Nessica l’avait devant elle quelques instants auparavant.  
 
 
 

n°4835477
moystard
Posté le 12-02-2005 à 09:51:23  profilanswer
 

J'aime bien ta trame, je trouve ca interressant et je continuerai voontier a la lire..
Par contre attention aux répétitions, et au style parfois un peu lourd :)

n°4835938
Kortex@HFR
Qu'ils sont cons ces lamas !!!
Posté le 12-02-2005 à 13:06:58  profilanswer
 

Cha0tix a écrit :

J'aime bien ta trame, je trouve ca interressant et je continuerai voontier a la lire..
Par contre attention aux répétitions, et au style parfois un peu lourd :)


 
Tout pareil, j'attend la chapitre 4 :)


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Au coeur du swirl - Mon feed
n°4836790
heresiark
Posté le 12-02-2005 à 16:40:11  profilanswer
 


 

Citation :

Chapitre I :
 
« Seigneur Drenwyn, la situation est plus que critique. Notre rideau défensif est qur le point de céder et nous manquons d’unités mobiles pour tenir la derniere ligne qui nous permet de contenir nos ennemis.  
D’après les rapports les plus récents, les Titans contrôlent toutes les Tribus avec lesquelles nous partageons nos frontières et possèdent tout les éléments favorables à la mise en place d’un siège contre lequel nous ne pourrions résister plus d’une semaine. Voire quelques jours. »
 
Drenwyn contempla tour à tour les faces de son état-major. Leurs visages étaient tous fermés et exprimaient une profonde déception. Il esperait juste que le sien n’arborait pas le même air depité.
 
La tour d'Ambre était un gigantesque donjon qui semblait cotoyer les infinis royaumes des cieux. Ses murs de variables couleurs refletaient les rayons du soleil ; on aurait cru qu'elle les capturaient pour les faire rejairent en une abondante fontaine de papillons lumineux.
Le sommet de la tour était un dôme transparent qui paraissait indestructible.  
La Tour d’Ambre est une place imprenable mais egalement une des plus grandes merveilles qu’aient construit les hommes. C’était en substance ce que pensait ceux qui contemplait ses lignes fières et ses angles indomptables qui leurs faisaient sentir la majestueuse aura qu'elle dégageait. Elle avait inspiré bon nombre de poètes et d’artistes qui, à cette époque encore, venait y puiser leur inspiration comme si sa seule vue leur rendait leur énergie créatrice perdue.[/b]
Même en ces temps de guerre et de souffrance,  elle se dressait orgeuilleusement de toute sa hauteur comme si elle voulait atteindre le ciel.
 
« Est-ce que nous avons des nouvelles de la Tribu de Delpherion ? demanda Drenwyn d’une voix mal assurée.  
Il avait envie de s'affaler sur le trône d'Ambre. Pourtant, il s'y était tenu fièrement jadis...  
"-En effet, répondit le capitaine. Cepandant, ce ne sont pas les nouvelles que nous attendions. Il semblerait que Greed, le Chef de la Tribu de Delpherion, ait rejoint les rangs des Titans et nous ait tourné le dos malgré les traités d’alliance que sa Tribu avait signé avec la nôtre il y a deux cents ans de cela...
Comme l’on déjà fait beaucoup de nos alliés, il semble avoir compris que les Titans étaient en train de prendre l’avantage sur nous et il a choisi en conséquence de se mettre du côté du plus fort.
-C’est une décision judicieuse, dit Drewyn d'une voix lasse. N’importe quel Chef Tribal voulant préserver son peuple ferait la même chose. Ainsi, je suis delaissé de tous. »
Dès que ces mots sortirent de sa bouche, Drenwyn regretta de les avoir prononçés. Son père lui avait toujours appris à ne jamais montrer ses doutes à ses hommes et voilà qu’il se laissait aller à de tels sentiments alors qu’il devait se montrer fort.  
 
« Le Chef ne doit jamais montrer qu’il est un être comme les autres car alors, ceux qu’il dirige ne pourront se transcender jusqu’à la mort pour lui. »
 
C’était les dernières paroles que son père lui ait dîte avant de mourir. La derniere phrase qu’il ait prononcé devant lui.  
En poussant son dernier souffle, il avait laissé à Drenwyn beaucoup plus que la tristesse de perdre un être cher.  
C’est à partir de ce jour-là qu’il s’était retrouvé porteur du fardeau qu’avait porté son père et tout ses aieux avant lui.  
Drenwyn  s’était alors retrouvé avec la lourde mais prestigieuse tâche de mener un peuple, tout une race même à la victoire dans la terrible guerre qu’ils menaient depuis bien longtemps contre leurs ennemis de toujours : les Titans.  
La Guerre des Dieux comme certains l’appellaient.  
Depuis plusieurs siècles, Kamis et Titans se livraient une guerre totale. Un conflit qui avait rapidement entrainé toutes les Tribus dans leur champ d’action.  
Les Kamis et les Titans étaient les races les plus puissantes de toutes et, quand la guerre éclata, toutes les Tribus durent faire un choix. Kamis ou Titans. Titans ou Kamis.  
Le monde entier  avait été le théâtre de cette guerre qui aujourd’hui, semblait sur le point de se finir. A l’avantage des Titans.  
Drenwyn était le fils du plus grand chef qu’ai jamais connu le camp des Kamis.  
Durant son règne, son père avait infligé de terribles dommages aux Titans et son génie militaire avait été tel qu’il avait failli les vaincre. Malgré tout, il finit par être tué dans la plus grande offensive jamais organisée par les Kamis. Un terrible échec.  
Une attaque sur le Sanctuaire des Titans qui avait avorté et affaiblie dangeureusement les Kamis ainsi que leurs plus puissantes vassales.
C’est ainsi que Drenwyn avait été propulsé Chef de la Tribu Kami et Protecteur des Tribus Alliées. Il n'avait que 18 ans.
Aujourd’hui, il en avait 35 et il voyait bien l'étendue de son échec. De toute evidence, il n’avait pas été digne de son père.
Même s’il ne voulait pas se l’avouer, c'était d’une certaine maniere à cause de son père que la Tour d’Ambre était sur le point de tomber aujourd’hui. A cause de cette maudite bataille. La bataille de trop.    
 
« Que faisons-nous maintenant Seigneur Drenwyn ? » demanda timidement le capitaine Dred.
Drenwyn ne répondit pas. Il savait qu’il n’avait plus le choix. Il se sentait tellement vulnerable. Vulnerable. Quel déshonneur pour celui qu’on appellait jadis le Seigneur de la Tour. Celui qui était consideré autrefois comme le plus puissant roi du monde.  
Tout cela appartenait au passé . Aujourd’hui, il suait à grosses gouttes et ses mains tremblaient nerveusement, en homme qui sent sa fin prochaine.
Il n’essayait même plus de cacher son désarroi à ses hommes.  
C’était inutile maintenant.
Les Kamis avaient perdus la guerre.
Tout était finit.
Il ne lui restait plus qu’une chose à faire.  
« Sortez-tous immediatement et fuyez aussi loin que vous pouvez, dit il avec emportement. Même si beaucoup de nos alliés nous ont trahis, certaines de nos Tribus vassales nous sont restés fidèles. Je veux que vous et l’armée abandonniez vos positions pour organiser le départ de tout les réfugiés Kamis vers ces Tribus. Que la Grâce du Destin soit avec vous. Maintenant partez ! »
Sa voix avait été plus rauque et sèche qu’il ne l’avait voulu mais cela eu au moins le merite de faire deguérpir ses hommes sur le champ.  
Très bien. Il savait ce qu’il avait à faire. Il se leva lestement de son trône. Il tendit la paume de sa main doite vers le Trône d’Ambre, symbole du pouvoir Kami depuis des siècles. Dans un vacarme assourdissant, le trone explosa, projetant des morceaux de bois et de pierres contre les murs. Comme le lui avait dit son père des années plus tôt, à l’endroit ou se tenait le Trône, un minuscule coffre de bois était posé sur le sol.  
Une boite pour laquel des membres de sa famille avaient donné leur vie et surtout damné leur âme. Lui même était sur le point de suivre leur tragique exemple en recourant au sort interdit.
C’était la seule chose qui pouvait faire maintenant.
Alors qu’il tenait la petite boite dans ses grandes mains de de guerrier, les paroles de son père lui revinrent à l’esprit avec netteté.  
 
"Souviens toi que le pouvoir contenu dans ce coffre est maudit.  
N'utilise la magie qu'il contient que si ton trone est en grave danger. Pour l'utiliser, tu devra faire un sacrifice.
-Un sacrifice ? demanda t-il  
-Oui. Sa gravité est proportinonnel à la puissance que tu voudra donner au Sort. Cela peut aller du sacrifice humain, au sacrifice d’un membre de notre famille ou même, au sacrifice de son âme.  
Celui qui l’utilise, verra son âme damné dans les plus terribles cerles des enfers jusqu’à la fin des temps et sans aucun espoir de rédemption. Jamais. »
 
Aujourd’hui, ces paroles résonnaient avec force dans son esprit. Drenwyn s’étais juré ce jour-là de ne jamais utiliser cette abomination, mais à l’époque son père était toujours vivant et les Kamis avaient l’avantage. En ce temps, tout était beaucoup plus facile.  
Il ouvrit le coffret et sortit le vieux parchemin sur lequel était inscrit l’idéogramme qui activait le Sort Maudit.  
Son estomac se révulsa quand il le décripta.
Comment un membre de son clan avait-il pu mettre au point un tel sceau ?  Il n’avait jamais rien lu d’aussi abominable que ces quelques lignes sur un parchemin moisi et pourtant, sur les champs de bataille, il pensait avoir tout vu.  
Sa main ne tremblait plus maintenant.  
Son esprit ne vacilla pas non plus quand il concentra son Fluide et qu’il activa la magie .


 
Voila le chapitre 1 version lisible. J'ai la flemme de corriger tes fautes d'orthographes et les miennes (et oui, moi aussi je suis nul en orthographe  :D )  
Meme si la plupart des modifications s'imposait, je sais que certaines sont contestables.
Quelques fautes d'écritures doivent encore rester.
Sinon, l'histoire est pas mal mais elle est pour l'instant encore assez mal écrite. Malgré cela, on est loin du niveau CP du chapitre 1 dans le chapitre 3. J'éspère que ton style va continuer à s'améliorer.
Sinon, l'histoire est pas mal, mais elle est assez mal écrite

n°4836912
demandred
Posté le 12-02-2005 à 17:18:58  profilanswer
 

je te remercie d'avoir corrigé mon 1er chapitre et je dois avouer que cela m'a permis de voir les lourdeurs de mon style et les nombreuses répetitions
sinon moi aussi j'espere m'améliorer mais bon je dois dire que je suis assez content que les bases de mon histoire soient potables
maintenant, reste à bien écrire et c'est ça le plus dur...

n°4837118
demandred
Posté le 12-02-2005 à 18:01:08  profilanswer
 

j'ai jamais dit que c'était une histoire ultra-originale qui allait tout révolutionner  
et puis moi j'ai pas honte d'écrire quelque chose de pas très novateur tant c'est un peu interressant
 

n°4842757
moystard
Posté le 13-02-2005 à 16:59:19  profilanswer
 

djmoissoneusebateuse a écrit :

Enieme version starwarso-nerdzienne du seigneur des anneaux ?


Quand on sait pas quoi dire a part une immondice comme ton post, on dit rien, allez va t'en!  :jap:

n°4842769
moystard
Posté le 13-02-2005 à 17:00:47  profilanswer
 

Demandred a écrit :

j'ai jamais dit que c'était une histoire ultra-originale qui allait tout révolutionner  
et puis moi j'ai pas honte d'écrire quelque chose de pas très novateur tant c'est un peu interressant


 
On comprend tous sauf lui que cette histoire meme si elle n'est pas d'une originalité folle, te permet de poser ton style d'écriture, et c'est pas si mal écrit que ca, ne t'inquiete pas, moi pour ma part j'ai senti une évolution dans le chapitre 3! Si tu ne l'as pas encore, je te conseille l'acquisition d'un dictionnaire des synonimes :)

n°4843467
corran
Posté le 13-02-2005 à 18:45:28  profilanswer
 

il manque hilgueugueu :o

n°4843585
Profil sup​primé
Posté le 13-02-2005 à 19:11:24  answer
 

grillé :o

n°4843685
moystard
Posté le 13-02-2005 à 19:33:00  profilanswer
 


Tu voulais faire la même blague ou t'avais un truc constructif a dire?  :??:

n°4843700
Profil sup​primé
Posté le 13-02-2005 à 19:35:35  answer
 

j'ai fait la meme blague plus haut et j'ai par la meme occasion laissé mes commentaires constructifs.

n°4843753
moystard
Posté le 13-02-2005 à 19:45:04  profilanswer
 

Ok excuse moi, j'avais pas lu ton précédent post après l'edit :)

n°4843907
Profil sup​primé
Posté le 13-02-2005 à 20:06:26  answer
 

pas de pb :)

n°4859743
meroee
Posté le 15-02-2005 à 23:53:28  profilanswer
 

Je n'ai pas tout lu, en fait j'ai lu le chapitre II et une partie du III.
Personnellement je trouve l'histoire interessante, en particulier la magie que tu abordes avec l'histoire de shania. Tu as bien integré la notion de hierarchie et l'histoire de l'ordre (les années de préparations...) est bien vue.
Cela dit si je peux me permettre quelques remarques, je trouve ça un peu violent le côté "l'héroine se fait violer dans les cinq premieres pages du livre". Je pense que c'est risquer d'aborder le sexe avant d'avoir pu développer ses personnages. Ou alors tu sombres dans l'herotic fantasy...
Sinon du point de vue du style je rejoins un peu chaOtix, on sent une amélioration dans le chapitre trois. Pour les deux autres je pense qu'il faut que tu travailles sur les liens entre les phrases pour ne pas que ça fasse "décousu". Sinon évite les phrases qui font trop "parlé". Par exemple dans "Je lui avouais que cette nuit je m’était(étais) faite en (quelque sorte) violée." je trouve que le quelque sorte est maladroit. J'ai bien compris (je crois) que tu voulais dire par là que ce n'était pas tout à fait un viol mais tu devrais choisir une autre tournure. Bon ce n'est qu'un exemple. Sinon dans l'ensemble j'ai plutôt aimé et je regarderai si tu mets la suite. D'ici là si tu permets j'aimerais bien l'imprimer pour pouvoir le lire plus facilement. J'ai un peu de mal à l'écran avec les textes longs :(

n°4904071
demandred
Posté le 21-02-2005 à 21:14:15  profilanswer
 

chaud devant, voila le chapitre 4 ^^(un poil plus court que les autres)
merci à tous ceux qui prennent le temps de me lire et de me laisser des commentaires
 
Chapitre IV.
 
Debout en face de la fenêtre à contempler l’agitation presque frénetique qui régnait sur la Grand Place, je m’interrogeais. J’étais en proie à un doute qui peu à peu ébranlait toutes mes convictions à propos de celle que j’avais toujours considerée comme ma meilleure amie. Nessica.  
Je ne pouvais m’empêcher de revoir l’air paniqué qu’elle avait quand elle était sortie de ma chambre pour se rendre au Temple quelques minutes plus tôt.  
Le fait de savoir que j’étais enceinte semblait l’avoir profondément bouleversé et les Titans seuls savaient ce qu’elle était capable de faire. Je savais qu’elle ne me trahirait pas en allant tout répeter à la Grande Prêtresse mais le poids du secret que je venais de lui réveler pouvait être trop lourd à porter. Si lourd qu’elle éprouve le besoin de se confier à quelqu'un comme moi je m’étais confiée à elle.
Finalement, je me rassurais peu à peu en me disant que mes inquiétudes étaient forcément non fondées. Nessica était bouleversée mais jamais elle ne trahirait mon secret. Jamais elle ne me mettrait ainsi en danger.  
Quelque peu apaisée, je m’étirais de tout mon long en poussant un soupir de bonheur. Le soleil de cette belle matinée réchauffait peu à peu mon humeur et je me disais que cette journée malgré des débuts difficiles n’évoluait pas si mal. Avec un peu de chance, Nessica arriverait à faire croire aux Prêtresses que je ne pouvais pas me rendre au Temple. Si elle se montrait assez convaincante, j’avais une journée entière pour réflechir à la suite des évenements. Sinon, quelqu'un viendrait me chercher dans moins d’une heure et là…
Il y avait peu de chances que le Temple envoie une Prêtresse juste pour me forçer à y aller mais ce n’était pas une possibilité à rejeter.  
Instinctivement, mon regard se posa sur le Temple qui s’étalait au nord de la Grande Place et que je voyais nettement de ma fenêtre.  
Ce qu’on appellait le Temple de la Tribu de Neroway était en réalité un quartier entier de celle-ci. Il était subdivisé en sept zones de taille égales qu’on appellait les Septièmes.  
Chaque Septième représentait un échelon dans la hiérarchie de Temple. Ainsi, le Premier Septième était accessible à tous notamment aux visiteurs qui venaient quémander l’aide des Prêtresses. Seules les Aspirantes de Cycle Inférieur ou de rang plus élevé étaient autorisées à pénetrer dans le Second Septième, les Aspirantes de Cycle Intermédiaires au Troisième et ainsi de suite jusqu’au jusqu’au dernier Septième que l’on appellait aussi la Plateforme, qui lui, était uniquement reservé à la Grande Prêtresse et à ses plus proches collaboratrices.
En tant qu’Aspirante de Cycle Intemediaire j’étais arrivée jusqu’au Quatrième mais maintenant que j’avais perdu ma virginité, je ne passerais même pas la seconde porte.  
Personne n’avait jamais tenté de penetrer dans le Temple sans remplir les conditions donc je ne savais pas ce qui risquerait de m’arriver si je tentais l’experience. Cependant,  je soupçonnais les Prêtresses d’avoir tracé sur la porte un Idéogramme caché qui avait pour fonction de foudroyer les folles qui croyaient pouvoir les duper.
La situation dans laquelle je me trouvais me paressait irréelle. Comme un rêve proche de la réalité mais dont on sait que l’on va se réveiller.
Si ce n’était pas un rêve, comment pouvais-je être aussi clame ? Plus que du calme, c’était même de la sérénité voire de l’inconscience.  
C’était comme si je savais parfaitement ce que je faisais. Pour une raison totalement inconnue, quelque chose me donnait l’intime conviction que tout irait bien.  
Le seul élément qui me troublait quelque peu était le fait de savoir que jamais je n’atteindrais l’objectif que je m’étais posé depuis toute petite, c’est à dire devenir Grande Prêtresse. L’accès à la Plateforme m’était maintenant totalement interdit et tous les sacrifices que j’avais endurés étaient maintenant inutiles. Le rêve que je poursuivais depuis tant d’années était definitivement hors de portée mais pourtant je ne ressentais pas de tristesse. Pas de frustration, pas de déception. Juste un sentiment d’exitation à l’idée de la nouvelle vie qui m’attendait.  
J’eus alors une idée qui me parut stupide sur le moment mais qui allait en fait, me sauver la vie plus tôt que je ne l’imaginais. J’allais jouer à mon jeu favori.
Je m’assis en tailleur sur le plancher de ma chambre et fermais les yeux. Comme je l’avais appris au Temple, je me concentrais sur mon Fluide, ce liquide énergetique qui coulait dans mes veines. Peu à peu, je sentis le flux brûlant circuler comme un torrent en furie dans chacun de mes vaisseaux sanguins et je grimaçai sous le coup de la douleur aiguë qui parcourait mon corps entier.  
La Concentration était normalement indolore mais chez moi, elle avait toujours provoqué cette douleur intense mais heureusement temporaire à laquelle je m’étais peu à peu habituée depuis toutes ces années.
Maintenant que j’avais emmengasiné assez d’énergie, je traçai devant moi le sceau activant le sort que je voulais invoquer. Quiconque m’aurait vu à ce moment-là aurait vu une jeune fille faisant de grands gestes étranges devant elle, mais un œil expérimenté aurait facilement été capable de percevoir  l’Idéogramme fait d’énergie pure que je traçais à l’aide de ma main droite.  
Lorsque j’eus fini, le sceau vibra comme s’il était soumis à une tension invisible et il y eut alors une explosion silencieuse de lumière. La déflagration vit voler mes cheveux et je sentis l’onde glacée d’énergie agir sur moi aussi nettement qu’un vent glacé.  
Lorsque ce vent tomba, je perdis le sens de la vue. Je vis un voile blanc laiteux couvrir doucement mes yeux et une fois ceux-ci complètement aveuglés, je m’ouvris alors à une nouvelle forme de vision.  
Le sort que je venais d’utiliser était le fruit d’un Idéogramme que j’avais moi-même mis au point. Bien evidemment, le droit de créer des sorts était reservé aux Prêtresses et probablement aucune des autres Aspirantes de Cycle Supérieur n’en était capable, cependant, la tentation de savoir jusqu’où s’étendait mon pouvoir avait été trop grande et j’avais alors mis au point ce sort.  
Cela avait été une tâche beaucoup plus difficile que je ne l’avais imaginé et je m’étais plusieurs fois  évanouie à cause de la quantité d’énergie que cela demandait mais au bout de trois mois entiers d’entraînement, j’avais finalement réussi.
Aujourd’hui, je maîtrisais parfaitement le sort de l’ Œil de l’Ame comme je l’avais pompeusement baptisé.  
L’ Œil de l’Ame avait deux fonctions essentielles. D’une part, il me permettait de percevoir mon environnement dans un rayon de 360 degrés, mais surtout, en focalisant mon esprit sur n’importe qui, il m’offrait la possibilité de voir ce que faisait cette personne aussi facilement que si elle se trouvait juste devant moi.  
Quiconque possède du Fluide est capable de le projeter autour de lui en vagues qui se propagent comme des ondes. C’est sur ce prinicipe magique élementaire que reposait mon sort. En effet, je projettais mon Fluide en cercles concentriques qui se propageait dans l’espace comme des ondes à la surface de l’eau et grâce à la technique que j’avais mise au point, j’étais capable d’interpréter tous les obstacles que rencontraient mes ondes. J’avais mis au point une sorte de radar comme celui des chauves-souris.  
En me concentrant sur quelqu'un que je connaissais, je projettais mon Fluide en vagues successives qui se propageait et dès qu’une onde rencontrait la personne concernée, le sort s’activait et je voyais la personne devant moi ainsi que tout ce qui l’entourait. Bien évidemment, la portée du sort avait des limites mais chaque jour, je sentais mes ondes se propager plus loin que le jour précedent.  
C’est ainsi que je vis la Prêtresse. L’espionner était devenue l’une de mes activités favorites. Je la voyais assise en tailleur et elle semblait tres concentrée. Je voyais qu’elle concentrait son Fluide aux grands arcs dorés qui crépitaient autour d’elle. J’étais impressionée par sa puissance même si je savais au fond moi que mon propre pouvoir augmentait chaque jour et que dans quelque temps, je la dépasserais sûrement.
Soudain, quelque chose attira mon attention. On aurait dit qu’elle avait tracé un Idéogramme sur le sol que je ne connaissais pas avec…mais oui, c’était du Sel de Vucain.  
Mais quel sort necessitait qu’elle utilise du Sel de Vucain ?

n°4916509
demandred
Posté le 23-02-2005 à 12:36:19  profilanswer
 

aucun commentaire a faire sur ce chap????

n°4916720
heresiark
Posté le 23-02-2005 à 13:09:12  profilanswer
 

Pour l'instant j'ai pas le temps, mais je devrais faire une critique dans la soirée.

n°4922521
Kortex@HFR
Qu'ils sont cons ces lamas !!!
Posté le 24-02-2005 à 02:11:36  profilanswer
 

Envoie le chapitre 5, c'est un peu difficile de faire des commentaires au fur et à mesure des chapitres... Personnellement, l'histoire me branche bien, j'ai envie d'avoir la suite. Concernant le style, je trouve ça suffisemment digeste pour être lu par pas mal de gens, même si des progrès restenet à faire (répétitions de temps en temps, ...).
 
Vite la suite ! Continue comme ça, c'est assez prenant (ça reste un avis personnel).


---------------
Au coeur du swirl - Mon feed
n°4927330
heresiark
Posté le 24-02-2005 à 17:41:58  profilanswer
 

Plutot que de réécrire directement le texte, il me semble qu'il est plus intélligent de te mettre en face de tes fautes d'écritures en faisant une critique paragraphe par paragraphe. Je n'ai réécris que les parties les plus médiocres du chapitre.
Je pense tu devrais montrer ton texte à un adulte qui soit près à te saquer. Par exemple, mon père m'insultait littéralement quand il faisait la critique d'un de mes texte. C'était une technique un peu rude, mais ça m'a permis de beaucoup mieux écrire (malheureusement, il n'a rien pu faire pour l'orthographe).
 
 

Citation :

Debout en face de la fenêtre à contempler l’agitation presque frénetique qui régnait sur la Grand Place, je m’interrogeais. J’étais en proie à un doute qui peu à peu ébranlait toutes mes convictions à propos de celle que j’avais toujours considerée comme ma meilleure amie. Nessica.


 
Tu peut résumer tout ça en 2 lignes : " En comtemplant l'agitation frénétique qui régnait sur la grande place, je pensais à Nessica. Je commençais à douter de ma meilleur amie." Evite aussi "[...] de celle que j'avais toujours considérée comme ma meilleure amie. Nessica." C'est vraiment risible comme tournure. On sait bien que c'est Nessica, inutile de mettre du suspense. C'est pas la première fois qu'on voit ça.
"Je m'intérrogeais" sans que rien ne suive, c'est nul.
 

Citation :

Je ne pouvais m’empêcher de revoir l’air paniqué qu’elle avait quand elle était sortie de ma chambre pour se rendre au Temple quelques minutes plus tôt.


 
C'est maladroit. Mets plutot : "Je songeais à son air paniqué quand elle est sortie de ma chambre pour se rendre au temple."
 

Citation :

Le fait de savoir que j’étais enceinte semblait l’avoir profondément bouleversé et les Titans seuls savaient ce qu’elle était capable de faire. Je savais qu’elle ne me trahirait pas en allant tout répeter à la Grande Prêtresse mais le poids du secret que je venais de lui réveler pouvait être trop lourd à porter. Si lourd qu’elle éprouve le besoin de se confier à quelqu'un comme moi je m’étais confiée à elle.
Finalement, je me rassurais peu à peu en me disant que mes inquiétudes étaient forcément non fondées. Nessica était bouleversée mais jamais elle ne trahirait mon secret. Jamais elle ne me mettrait ainsi en danger.

 
 
Plus correctement : "Savoir que j'étais enceinte semblait l'avoir profondément bouleversée et les titans seuls savaient ce qu'elle était capable de faire. J'éspérais qu'elle ne me trahirais pas en allant tout répéter à la grande prêtresse, mais le poid du secret pouvait être trop lourd à porter. Peu à peu, je me rassurais. Jamais elle ne me mettrait ainsi en danger."
Quelque soit la situation, évite d'utiliser "le fait que" ou "le fait de". Tu tourne aussi un peu autour du pot.
 

Citation :

Quelque peu apaisée, je m’étirais de tout mon long en poussant un soupir de bonheur. Le soleil de cette belle matinée [b]réchauffait peu à peu mon humeur et je me disais que cette journée malgré des débuts difficiles n’évoluait pas si mal. Avec un peu de chance, Nessica arriverait à faire croire aux Prêtresses que je ne pouvais pas me rendre au Temple. Si elle se montrait assez convaincante, j’avais une journée entière pour réflechir à la suite des évenements. Sinon, quelqu'un viendrait me chercher dans moins d’une heure et là…
Il y avait peu de chances que le Temple envoie une Prêtresse juste pour me forçer à y aller mais ce n’était pas une possibilité à rejeter.  
Instinctivement, mon regard se posa sur le Temple qui s’étalait au nord de la Grande Place et que je voyais nettement de ma fenêtre.

 
 
Pas grand chose à dire sur ce passage là. Juste qu'une humeur ne se réchauffe pas et qu'il ne faut pas utiliser "se dire" mais plutot penser, songer.
 

Citation :

Ce qu’on appellait le Temple de la Tribu de Neroway était en réalité un quartier entier de celle-ci. Il était subdivisé en sept zones de taille égales qu’on appellait les Septièmes.  
Chaque Septième représentait un échelon dans la hiérarchie de Temple. Ainsi, le Premier Septième était accessible à tous notamment aux visiteurs qui venaient quémander l’aide des Prêtresses. Seules les Aspirantes de Cycle Inférieur ou de rang plus élevé étaient autorisées à pénetrer dans le Second Septième, les Aspirantes de Cycle Intermédiaires au Troisième et ainsi de suite jusqu’au jusqu’au dernier Septième que l’on appellait aussi la Plateforme, qui lui, était uniquement reservé à la Grande Prêtresse et à ses plus proches collaboratrices.
En tant qu’Aspirante de Cycle Intemediaire j’étais arrivée jusqu’au Quatrième mais maintenant que j’avais perdu ma virginité, je ne passerais même pas la seconde porte.


 
Je trouve que "celle ci" et "celui ci" sont des expréssions un peu lourdingues. Parfois, il est inévitable de les utiliser, mais il faut l'éviter au maximum.
La phrase mis en gras est trop longue, tu aurais pu la diviser en deux et même en trois.
 

Citation :

Personne n’avait jamais tenté de penetrer dans le Temple sans remplir les conditions donc je ne savais pas ce qui risquerait de m’arriver si je tentais l’experience. Cependant,  je soupçonnais les Prêtresses d’avoir tracé sur la porte un Idéogramme caché qui [/b]avait pour fonction de foudroyer les folles qui croyaient pouvoir les duper.
La situation dans laquelle je me trouvais me paressait irréelle. [b]Comme un rêve proche de la réalité mais dont on sait que l’on va se réveiller
.
Si ce n’était pas un rêve, comment pouvais-je être aussi clame ? Plus que du calme, c’était même de la sérénité voire de l’inconscience.  
C’était comme si je savais parfaitement ce que je faisais. Pour une raison totalement inconnue, quelque chose me donnait l’intime conviction que tout irait bien.


 
D'accord, je pinaille, mais je trouve que "ces conditions", c'est mieux que "les conditions", dans le contexte. Si je voulais encore pinailler, je dirais que "il etait probable que" est préférable à "je soupçonnais". D'ailleurs, cette phrase est trop longue.
La phrase "Comme un rêve dont [...]" est franchement pourrie. Tu devrait plutôt dire : "Comme un rêve dans lequel on attend déjà le réveil".
Evite de mettre des "totalement", ça sonne faux dans un "témoignage".
 

Citation :

Le seul élément qui me troublait quelque peu était le fait de savoir que jamais je n’atteindrais l’objectif que je m’étais posé depuis toute petite, c’est à dire devenir Grande Prêtresse. L’accès à la Plateforme m’était maintenant totalement interdit et tous les sacrifices que j’avais endurés étaient maintenant inutiles. Le rêve que je poursuivais depuis tant d’années était definitivement hors de portée mais pourtant je ne ressentais pas de tristesse. Pas de frustration, pas de déception. Juste un sentiment d’exitation à l’idée de la nouvelle vie qui m’attendait.  
J’eus alors une idée qui me parut stupide sur le moment mais qui allait en fait, me sauver la vie plus tôt que je ne l’imaginais. J’allais jouer à mon jeu favori.


 
"Le seul [...] grande prêtresse" Phrase très mal écrite. Voilà ce que je mèttrais : "Savoir que je ne serais jamais grande prêtresse étais la seule chose qui me troublais". Plutot que " les sacrifices que j'avais endurés étais maintenant inutile"
j'écrirais "Tout mes sacrifices étaient maintenant vains."
A la place de "Le rêve [...] de tristesse." : "Mon objectif était hors de porté, et pourtant je ne ressentais pas de tristesse".
A la place de" un sentiment [...] qui m'attendais" : Je ressentais de l'exitation à l'idée qu'une nouvelle vie m'attendait"
"Qui allait me sauvé la vie plus tôt que je ne l'imaginais" est vraiment très, très maladroit. Et quant à parler de jeux à la fin...
 
J'ai pas le courage de faire le reste. Pour résumer, les fautes récurentes de tes chapitres sur le plan de l'expréssion sont :  
- Des répétitions
- L'utilisation d'expréssion incorrecte, comme "le fait", "se dire" ...
- Des phrases trop longues
- Tu écris 5 phrases sur un même sujet là ou tu pourrais n'en écrire qu'une.
- Une façon d'écrire parfois maladroite (ex : le 1er paragraphe)
- Utilisation contestable de la 1ere personne et de l'imparfait dans le récit de Shania. A mon avis, il aurait mieux valu utiliser soit la 1ere personne et le présent, soit la 3eme personne.
- Le propos de Shania sonne faux pour ce qui semble un témoignage, donc raison de plus pour utiliser la 3eme personne.
 
Pour finir, je dirais que j'aime bien l'intrigue, bien qu'elle ne soit pas très originale (quoique j'ai pas très bien vu le rapport avec Tolkien).  

n°4928332
demandred
Posté le 24-02-2005 à 19:37:46  profilanswer
 

merci de ce commentaire heresiark
me retrouver face aux fautes de mon style est un choc assez dur à encaisser mais bon, je suis la pour ça ^^
sinon je pense avoir saisi en quoi mon style était parfois lourd et je pense que ton post devrait beaucoup m'aider pour la suite
sur ce, au boulot...^^

n°4945568
meroee
Posté le 27-02-2005 à 00:03:22  profilanswer
 

Après lecture j'ai commencé à corriger les fautes sur papier par contre j'ai la flemme de le corriger sur l'ordi. Donc si ça t'intéresse je pourrais te donner une version corrigée d'ici quelques temps.  
Sinon l'histoire m'intéresse toujours autant. Si je peux me permettre deux ou trois remarques par contre je dirais que je trouve tes chapitres beaucoup trop courts. L'histoire aurait besoin d'être "étoffée".

n°4997566
deidril
French Geek Society Member
Posté le 05-03-2005 à 10:18:13  profilanswer
 

Salut, voici mes remarques sur le premier chapitre. J'ai annoté ta version et non pas celle corrigée par autrui car je pense que c'st à toi de modifier ton texte à ta sauce, suite aux remarques des autres :)
 

Citation :


Chapitre I :
 
« Seigneur Drenwyn, la situation est plus que critique. Notre rideau défensif est qur le point de céder et nous manquons d’unités mobiles pour faire tenir la derniere ligne qui sert à contenir nos ennemis.  


 
Je suis sur que Drenwyn sais très bien qu'une derniere ligne de défense sert a contenir les ennemis. En plus, si la situation est plus que critique, on ne perd pas son temps dans ce genre de commentaire. Tu devrait tourner le texte autrement si tu veut expliquer ce qu'il se passe.
 

Citation :


D’après les rapports les plus récents, les Titans contrôlent toutes les Tribus avec lesquelles nous partageons nos frontières et possèdent tout les éléments favorables à la mise en place d’un siège contre lequel nous ne pourrions résister plus d’une semaine. Voire quelques jours. »


 
La encore, le seigneur est surement tout à fait au courant de la situation. Tu devrais réécrire cette partie autrement, peut être en faisant réagir Drenwyn qui lui, commente la nouvelle, et se rappelle que les Titans contrôlent, etc ...
 

Citation :


Drenwyn contempla tour à tour les faces de ceux qui constituaient son état-major. Leurs visages étaient tous fermés et exprimaient une profonde déception. Il esperait seuleuement que son propre visage n’arborait pas le même air depité.  
Cette réunion se tenait dans la plus haute salle de la fière Tour d’Ambre. La Tour d’Ambre. C’était une tour ..


Beaucoup de repetitions
tour a tour Tour tour Tour...  
visage visages.
 
Trouve des synonymes pour tour : construction, refuge, palais, demeure... Word est ton ami !
 

Citation :


-C’est une décision judicieuse, soupira avec lassitude Drenwyn. N’importe quel Chef Tribal voulant préserver son peuple ferait la même chose. Ainsi, je suis delaissé de tous. »


 
C'est le seul commentaire que lui inspire une traitrise pour un pacte vieux de 200 ans ? Oo. Judicieuse n'est peut être pas 'judicieux'.  
 

Citation :


Drenwyn  s’était alors retrouvé avec la lourde mais néanmoins prestigieuse tâche de mener tout un peuple, tout une race même vers la victoire dans la terrible guerre qu’ils menaient depuis des siècles contre leurs ennemis de toujours : les Titans.  


 
Je trouve la phrase lourde. Quelques ponctuations devraient regler le problème.
 

Citation :


Depuis plusieurs siècles, Kamis et Titans se livraient une guerre totale. Une guerre qui avait rapidement entrainé toutes les Tribus dans leur champ d’action.  


 
Sillage sonne mieux que champ d'action.

Citation :


Pour beaucoup, les Kamis et les Titans...


Beaucoup de répétitions de Kami et Titans. Essayent de trouver des termes équivalents, comme les deux clans, les deux peuples, etc ...
 

Citation :


Je veux que vous tous ainsi qu’une partie de l’Armée kamie abandonne ses positions pour organiser le départ de tout les réfugiés Kamis vers ces Tribus. Sauvez le plus des nôtres que vous pourrez. Que la Grâce du Destin soit avec vous. Maintenant partez ! »


Lourdeurs de répétition ( Kamie, kamis, et dans les lignes d'avant que je n'ai pas quotées ) Franchement, ca rend le texte assez pénible et peu agréable sur certains passages.
 

Citation :


« Souviens toi fils, la technique qui se trouve dans le coffret est une technique très puissante mise au point par de lointains ancêtres de notre clan mais surtout, n’oublie jamais que c’est un Sort Maudit.  
Les Sorts Maudits ne doivent jamais être utilisés à la légère car, ayant recours à la magie noire et surtout car leur puissance est terrifiante, il requiert un sacrifice.  
-Un sacrifice ? demandais-je.  
-Oui un sacrifice. La gravité de ce sacrifice est proportinonnel à la puissance du Sort. Cela peut aller du sacrifice humain, au sacrifice d’un membre de sa famille ou même, au sacrifice de son âme.  


 
sacrifice, sacrifice, sacrifice... Encore des répétitions.
 

Citation :


Drenwyn s’étais juré ce jour-là de ne jamais avoir à cette abomination mais à l’époque son père était toujoturs vivant et les Kamis avaient l’avantage.  


 
Avoir à quoi ? il doit manquer un verbe là.
 

Citation :


Il était un Chef Tribal maintenant et en tant que tel, il savait ce qui lui restait à faire.  


 
-> Maintenant, il était un chef tribal, et en tant que tel, savait ce qu'il lui restait à faire. ( j'aurais mis accomplir tiens ).
 
Je quote cette phrase comme exemple mais le problème est présent partout: tes phrases sont assez mal construite, et manque de ponctuation, ou gagnerais à être modifiée à la relecture. N'oublie pas de placer des virgules devant les 'et' pour casser le rythme, lorsque tu n'utilise pas la conjonction pour un seul et même sujet ou complément d'objet.  
 
Le 'Sort Maudit'. Cela fait assez kitshopueril. Essaye de trouver un autre terme, comme la malédiction, ou donne lui un nom évocateur comme le Rituel de l'Ultime Sacrifice, le Pacte du Sang, etc...
 

Citation :


Comment un membre de son clan avait-il pu mettre au point un tel sceau ?  Il n’avait jamais rien vu d’aussi abominable que ces quelques lignes de sang sur ce vieux papier et pourtant, durant sa vie et sur les champs de bataille, il pensait avoir tout vu. Cependant,  


 
Ce sont peut être les mots qui sont abominables, pas les lignes elle mêmes ?
 
Voilà en ce qui concerne mes commentaires. Je n'ai pas commenté les erreurs d'orthographes à corriger, Word sait le faire mieux que moi :)
 
Je dirais que sur un certain nombre de passage, tu use et abuse des répétitions qui exprime l'idée de ton paragraphe : la Tour, le Sacrifice, les titans et les kamis etc ...ce qui rend le texte à cet endroit peu savoureux.  
 
Pense quand même à appliquer le correcteur de ton traitement de texte avant de l'afficher ici.
 
Voilà, si tu corrige bien ton texte et poste la révision, j'essayerais de commenter le deuxième chapitre :)


Message édité par deidril le 05-03-2005 à 14:18:30
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