Le nom « quiz » ne prend qu'un seul « z ».
On écrit « en son for intérieur » sans « t » à « for ».
Employé comme comparatif, « autrement » signifie « bien plus ». Ainsi, « autrement plus » est un pléonasme qui signifie « bien plus plus ». Il ne faut donc pas dire « autrement plus grand », mais « autrement grand ».
« De suite » signifie « d'affilée » et ne peut pas être employé dans le sens de « tout de suite ».
« Quasi » ne se joint par un trait d'union au mot qui suit que quand il s'agit d'un nom (on écrit « la quasi-totalité », mais « quasi total »).
En français, « être intéressé » s'emploie devant un nom, précédé de la préposition « par ».
« être intéressé » ne s'emploie jamais devant un verbe à l'infinitif. La tournure fréquente « être intéressé de faire quelque chose » est fautive. Il ne faut pas donc pas dire « je serais intéressé de le savoir » mais « cela m'intéresserait de le savoir ».
« Ayant cause » et « ayant droit » s'écrivent sans trait d'union. Au pluriel, on accorde « ayant » : « des ayants cause », « des ayants droit ».
La préposition « ès » porte toujours un accent grave. Elle signifie « en les » et ne peut donc s'employer que devant un nom pluriel. Elle n'est suivie d'un trait d'union que dans les noms de localités (ex. : « Sury-ès-Bois est à une heure de voiture de Bourges. »).
Le nom « mets » prend un « s », même au singulier. Il en va évidemment de même pour « entremets ».
Les noms composés de voies et d'établissements publics (écoles, hôpitaux, stades, etc.) s'écrivent avec un ou plusieurs traits d'union (ex. : « La rue de la Montagne-Sainte-Geneviève, à Paris, débouche sur le Panthéon. »).
« Tout » ne s'accorde pas toujours au féminin, tant s'en faut ! Devant un adjectif qui commence par une voyelle ou un « h » muet, « tout » est invariable quand il peut être retiré de la phrase (« tout étonnée » mais « toute surprise », « tout heureuse » mais « toute honteuse », « une tout autre affaire » mais « toute autre date me conviendrait »).
Devant « en », l'usage hésite quand « tout » signifie « complètement » (ex. : « une maison tout(e) en flammes », « une robe tout(e) en soie »). En revanche, l'invariabilité est de rigueur lorsque « tout » exprime l'intensité de l'action ou de l'état (exemple : « elle est tout en larmes »).
« Tout » est invariable dans la locution « tout à vous » quand il signifie « entièrement à votre disposition » mais s'accorde s'il exprime une déclaration passionnelle (ex. : « Un instant et je suis tout à vous, annonce la standardiste au bout du fil » mais « Ces deux-là s'aiment passionnément : il est tout à elle, elle est toute à lui. »).
La liaison ne peut pas remplacer la négation. Il faut écrire « on n'a pas ».
Après « sans que », le « ne » explétif est proscrit (il faut dire « sans qu'on s'en rende compte » et non « sans qu'on ne s'en rende compte »).
Lorsque « jamais » a un sens proche de « déjà », il ne peut pas non plus s'accompagner d'un « ne » explétif (exemple : « le meilleur qu'on ait jamais vu », et non « le meilleur qu'on n'ait jamais vu »).
Après « de peur que », « je crains que », etc., le « ne » explétif est généralement considéré comme obligatoire (il vaut mieux dire « de peur qu'on ne me voie » que « de peur qu'on me voie »).
Pour savoir s'il faut écrire « voit », « vois » ou « voie », remplacez la forme qui pose un problème par « aperçoive(s) ». Si la phrase reste correcte, il s'agit du subjonctif « voie » (exemple : « je me faufilai discrètement, de manière qu'on ne me voie pas »).
Ce sera tout.
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Tu es incapable d'aligner trois mots sans faire quinze fautes d'orthographe. Pour le bien de l'humanité, supprime ton pseudo et arrête toute activité impliquant une production écrite.